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La Condamn�e

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Synopsis: Une femme mure, pulpeuse et masochiste se fait volontairement condamner aux travaux forc�s � perp�tuit� et � l'esclavage

Tous les personnages de cette histoire sont fictifs, majeurs et �g�s de plus de 18 ans. Toute ressemblance avec des faits ou personnages ayant exist� ne serait que pure co�ncidence. Il sagit ici de fantasmes.

Ceci est lhistoire de mon avilissement, de ma descente aux enfers, de mes d�sirs dhumiliation et de d�gradation.

Je mappelle�Samantha Endersson; � 45 ans je suis une femme pulpeuse, une chevelure ch�tain qui tombe en larges boucles jusquau milieu de mon dos, une bouche aux l�vres ourl�es, un visage fier et arrogant, une peau de p�che, l�g�rement h�l�e.

Malgr� mon �ge, les hommes se retournent toujours sur mon passage�: jai une chute de reins tr�s cambr�e, des fesses charnues, comme les blacks, des jambes longues aux muscles dessin�s. Mon corps a pris quelques kilos avec les ann�es mais ces rondeurs me rendent, parait-il, encore plus sexy.

Mon atout majeur, ce sont mes seins�: je fais du 105DD, des seins lourds, en forme d�normes poires avec des t�tons qui pointent vers lext�rieur. Au moindre de mes mouvements, ils frottent lun contre lautre et ballottent lourdement, attirant les regards des hommes de tout �ge.

Jeune, j�tais g�n�e par cette poitrine d�mesur�e que je trouvais obsc�ne.

Maintenant, jen suis tr�s fi�re et je la mets en �vidence en portant toujours des v�tements moulants ou des d�collet�s les plus provoquants.

Avec mon mari Dexter, 50 ans, ing�nieur, nous habitons dans les beaux quartiers de Houston, au Texas, dans le Sud des USA. Nous navons plus grand-chose en commun, lui et moi, nayant pas eu denfants. Je nen ai jamais voulu�; c�tait impossible avec ma carri�re. Nous partageons la m�me vie mais la passion ny est plus�; nous sommes mari�s en s�paration de biens pour que chacun puisse reprendre ses billes si �a tourne mal pour lautre�

Je suis CEO dune grosse soci�t� de conseil financier et immobilier. Jai lutt� durement pour gravir les �chelons et je suis fi�re de r�gner sur plus de 300 employ�s.

Dans la vie active, je suis une femme ambitieuse, autoritaire et crainte par mes employ�s.

Mon c�t� obscur est tout diff�rent�: je suis hant�e par des fantasmes masochistes, de soumission, dhumiliation, desclavage�

Mon mari ne partageant pas mes d�sirs, javais d� assouvir ceux-ci par des rencontres sur internet.  Les 1eres rencontres avec des inconnus, selon des scenarios pr�par�s � lavance avaient r�v�l� ma sexualit�. Javais longtemps eu une liaison avec un black muscl�, tr�s dominant. Je lattendais dans la chambre dh�tel o� il me rejoignait le midi, nue � genoux�m�tant moi-m�me menott�e les mains derri�re le dos apr�s avoir laiss� la porte entrouverte. Il  entrait sans un mot, me giflait copieusement en me traitant de grosse pute ou de sac � foutre puis il me for�ait � le sucer, lentement, gobant et l�chant langoureusement ses couilles, ma langue sinsinuant dans son anus.

Il me tenait par les cheveux m�touffant � moiti� en enfon�ant son �norme sexe dans le fond de ma gorge�; jadorais le regarder en lui offrant ma bouche pendant quil me crachait dessus et minsultait. Il jouissait en longs jets sal�s et acres et javalais sa semence jusqu� la derni�re goutte. Apr�s avoir nettoy� son sexe avec ma langue, il me battait � coups de poings et de pieds ou me cinglait les fesses et les seins � coups de ceinture. Dautres fois, il mattachait au lit les mains au-dessus de la t�te et appelait un room service. Lorsque le gar�on d�tage entrait, il me trouvait encha�n�e nue sur le lit, les seins et les fesses stri�s des z�brures des coups de ceinture. Il lui demandait alors de menculer sans aucune forme de respect. Apr�s avoir remerci� le gar�on d�tage, je devais lui nettoyer le sexe avec ma langue en mexcusant ��que mon gros cul de poufiasse soit plein de merde��. Apr�s quoi, mon amant black prenait mon portefeuille et lui donnait un pourboire princier.

Quand mon mari partait en voyage daffaires, je participais � des soir�es dans des clubs SM tr�s ferm�s o� on me vendait comme esclave pour quelques jours. Jadorais lhumiliation d�tre ainsi expos�e et palp�e comme du b�tail. Tenue en laisse par une dominatrice toute v�tue de cuir, je montais sur sc�ne, nue encha�n�e les mains derri�re le dos, des fers � mes chevilles avec une lourde cha�ne les reliant, sous les moqueries du public. Je me tenais fi�rement, cambr�e, toisant les acheteurs qui venaient soupeser mes seins, mes fesses et explorer mes trois orifices de leurs mains. Pour faire monter les ench�res, ma dominatrice me for�ait � danser de fa�on obsc�ne � coups de cravache. Les cha�nes me faisaient souvent tomber pour le plus grand plaisir des spectateurs qui voyaient mes seins s�craser sur le plancher rugueux de la sc�ne. La honte, lhumiliation, les moqueries du public me procuraient une excitation incroyable. Une fois vendue, ma dominatrice mordonnait de me mettre � genoux et lorsque mon acheteur montait sur sc�ne, je baisais humblement les pieds de mon nouveau ma�tre tandis quelle me cravachait les fesses. C�tait tellement intense que je jouissais parfois sur sc�ne, dans de longs r�les entre deux l�chages de semelles.

Mon propri�taire temporaire memmenait alors en laisse pour plusieurs jours desclavage sexuel ou je mettais toute ma science et ma sensualit� pour satisfaire ces hommes parfois r�pugnants. Parfois aussi des femmes machetaient, c�taient de loin les plus sadiques et les plus imaginatives.

Mais tous ces plaisirs ne dur�rent quun temps et je r�vais � pr�sent de bien plus.

Je voulais que ma d�ch�ance soit totale et permanente�; les petites s�ances dun soir ne me comblaient plus. Je r�vais desclavage r�el, devant tout le monde, sans possibilit� de faire marche arri�re.

Assise dans mon grand bureau directorial au 50e �tage de limmeuble G&R ltd, je r�vassais, distraite, lennui s�tant install� profond�ment dans ma vie. Javais lu sur internet des r�cits o� des femmes �taient punies des travaux forc�s sur une gal�re, ramant nues sous les coups de fouet, en sueur, pataugeant dans leurs excr�ments, la t�te ras�e, encha�n�e � leur banc. Pendant leurs rares moments de r�pit, elles devaient satisfaire leurs gardiens, avec leur bouche. A lid�e de me voir condamn�e � des travaux forc�s tr�s durs, de n�tre plus quune b�te de somme, mon clitoris se durcissait et je me masturbait fr�n�tiquement pendant des heures, laissant une large aur�ole humide sur mon si�ge.

Aujourdhui, ma secr�taire devait mapporter un rapport tr�s important. Lillian, 38 ans, mince, assez fade �tait ma secr�taire et aussi mon souffre-douleur. Je passais sur elle mes frustrations sexuelles en la traitant de fa�on inf�me.

Elle me tendit une farde �paisse et sassit sur le si�ge faisant face � mon bureau.

Apr�s une heure de lecture et de nombreuses remarques blessantes sur la mauvaise qualit� du travail, je jetai la farde par terre, avec d�dain.

Je lui ordonnai de ramasser les papiers �parpill�s et elle sortit du bureau, les yeux pleins de larmes mais aussi de haine. A peine cette petite imb�cile sortie, je me replongeai dans internet. Un article int�ressant sur le durcissement des lois avait excit� ma curiosit�: avec la crise et laugmentation de la criminalit�, de nouvelles lois avaient �t� vot�es. Chaque condamnation devait � pr�sent avoir plusieurs aspects. La privation de libert� du coupable bien s�r, mais aussi un aspect dissuasif en rendant publique la condamnation et en montrant � la population ce qui attendaient les criminels. Le condamn� �tant conduit publiquement sur les lieux de son forfait pour y demander pardon et �tant ensuite emmen� nu et encha�n� vers sa prison pour y purger sa peine. Un autre aspect qui faisait remonter en moi mes d�sirs les plus inf�mes �tait que chaque condamn�(e) devrait payer sa dette � la soci�t� en se soumettant � des travaux au service de la collectivit�Un site montrait une prison du Sud de l�tat o� des femmes condamn�es � de longues peines travaillaient nues encha�n�es par les pieds les unes aux autres � casser des cailloux pour la construction dune route.

Leurs conditions �taient tr�s dures, on les voyait essayer de rouler de gros rochers sous les coups de fouet des gardiens. Beaucoup de ces femmes �taient des criminelles de basse classe, des noires mais il y avait aussi quelques blanches dans cette prison. Je me demandais si je serais capable dendurer de telles conditions, de devenir une de ces esclaves. Mais en fait, depuis plusieurs mois, je savais que je voulais d�finitivement quitter cette vie ennuyeuse et banale�

Javais �chafaud� un plan fou dans lequel je me d�noncerais moi-m�me � mon Conseil dAdministration pour me faire condamner. Il y a des ann�es, javais en effet profit� dune erreur pour d�tourner une grosse somme dargent.  Jen �prouvais un sentiment de culpabilit� obs�dant et des remords me faisaient souvent me r�veiller en sueur au milieu de la nuit. Plusieurs fois, javais pr�par� un courriel avec un fichier contenant toutes les preuves, � envoyer aux administrateurs. Mon doigt avait caress� la touche ��envoyer�� mille fois mais je navais pas os� le faire�; comme le suicidaire qui nose pas appuyer sur la g�chette. Tout le dossier fraude �tait cach� soigneusement dans ma mallette.  Jh�sitais, pesant ma vie luxueuse, puis me voyant nue, couverte de cha�nes devant tout le monde comme je le d�sirais tant.

La journ�e avait pass� rapidement et je fus surprise par lentr�e de Lillian et de son fils, Kevin, 18 ans mais paressant 15, rouquin boutonneux, quasi ob�se, avec son regard porcin et ses airs de puceau. Il me regardait toujours avec une envie malsaine, ce petit vicieux. Et aujourdhui, je vis que ma robe noire lui faisait de leffet�: tr�s moulante, avec un d�collet� profond d�couvrant mes seins presque jusquaux ar�oles, elle �tait aussi tr�s courte et il remarqua vite la lisi�re noire de mes bas. Je croisai mes jambes et il eut bri�vement une vision de mon porte-jarretelles. Mais assez jou�

Il �tait tard et je fermai la porte s�parant mon bureau et celui de ma secr�taire pour me replonger dans ce reportage sur cette prison aux conditions tr�s dures. Les gardiens, des blacks pour la plupart, avaient lair de brutes �paisses et en les voyant maltraiter leurs prisonni�res, je mimaginais entre leurs mains, hurlant sous le fouet ou les satisfaisant avec ma bouche, r�duite en esclavage, couverte de sueur et de poussi�re, cassant des cailloux le long dune route devant les habitants de lendroit� Les images tournaient dans ma t�te et je recommen�ai � me masturber, lentement. De mon autre main, je caressais mes t�tons emprisonn�s dans ma robe si moulante. Je d�cidai de lenlever et je me mis nue, avec mon porte-jarretelles, jambes �cart�es sur mon fauteuil, une main massant mon clitoris, lautre mes seins. J�tais proche de lorgasme quand jentendis derri�re moi un soupir. Je sursautai et vis Kevin, le pantalon baiss� en train  de masturber son petit sexe. Javais oubli� de fermer la porte de la salle de r�union�!!!

En deux bonds, j�tais sur lui, qui s�tait emp�tr� dans son pantalon et �tait tomb� par terre, son gros cul nu.

Sautant sur lui, je lui administrai une fess�e cuisante jusqu� ce que ses fesses soient toutes rouges.

Il pleurait � chaudes larmes, honteux et humili� de s�tre fait prendre. Je remis ma robe et appelai Lillian�:

Sortez de mon bureau tous les deux et vous, continuez ce rapport sinon��!!!

Une fois le calme revenu, je respirai un grand coup, pris le dossier contenant mes fraudes et louvris sur mon bureau. Ma d�cision �tait prise�Je mettais mon sort entre les mains de ma secr�taire.

Je sortis du bureau�:

Je laissai tomber un gant et lui jetai un regard noir�:

Elle me d�testait.

Le lendemain, en route vers le bureau, je me demandais si Lillian avait lu le dossier que javais laiss� et si oui, mavait-elle d�nonc�? J�tais taraud�e par la peur et lexcitation. Plusieurs fois, javais rebrouss� chemin, h�sitant � reprendre ma route. Javais mis une robe trop courte ultra moulante qui marrivait au ras des fesses, avec un string rouge et sans soutien. D�collet�e  dans le dos mais aussi d�voilant mes gros seins presque enti�rement, j�tais obsc�ne, on aurait dit une putain. Sans soutien, mes seins pendaient lourdement, mes mamelons dardant sous le tissu, ma robe arrivant tout juste � contenir lun contre lautre mes gros seins, mais mes t�tons pointant vers la gauche et la droite, de vraies mamelles.

Arriv�e au bureau, je fus imm�diatement arr�t�e par les 5 policiers qui mattendaient dans le hall, sous les yeux stup�faits de mes employ�s de me voir emmen�e dans une telle tenue.

Mon proc�s fut exp�di� en quelques heures�; javais tout avou� et navais pas demand� davocat. Cest donc dans cette tenue de prostitu�e que je mentendis condamner�:

Ma vie basculait�; dans la salle, japer�us mon mari et ma secr�taire qui applaudissaient � lannonce du verdict. Je fus emmen�e en me demandant si c�tait le hasard qui les avait fait sasseoir lun � c�t� de lautre.

Le lendemain, dans le fourgon cellulaire qui me conduisait vers mes anciens bureaux, la fonctionnaire p�nitenciaire, Madame Olga, une petite femme maigre, la cinquantaine au regard tr�s noir, mexpliqua�:

Elle �changea un  clin d�il complice avec les deux gardiens qui mescortaient et avec un sourire narquois, elle r�pondit�:

Mes gardiens �taient deux noirs tr�s jeunes, tous deux b�tis comme des armoires � glace�; ils me consid�raient avec m�pris, le regard mauvais�; je compris vite quil ne fallait pas les contredire et quil vaudrait mieux me montrer ob�issante.

Arriv�s devant limmeuble de mes ex-bureaux, Madame Olga avait pris soin de couper les bretelles de ma robe ainsi que l�lastique qui en serrait le bas. Elle ne tenait donc plus que par ma taille et mon ventre. Je devais donc continuellement la remonter sur mes seins et tirer sur le bas qui laissait apparaitre mes grosses fesses et mon string � chaque pas que je faisais.

Agac�e, la fonctionnaire mordonna�:

Elle avait raison�

Je p�n�trai dans le hall de limmeuble lair hautain et impassible, comme si je venais travailler normalement, � la diff�rence que javais les seins qui ballottaient maintenant compl�tement hors de ma robe et que javais les fesses expos�es aux yeux des employ�s stup�faits�

Je fus conduite dans la grande salle de congr�s o� javais fait tant de discours et dans laquelle on avait r�uni tous mes employ�s. Je traversai la salle sous les murmures et les ricanements moqueurs de mon ancien personnel.

Puis je retrouvai ma fiert� et en regardant fi�rement la salle�:

La salle me huait copieusement. Je me tournai ensuite vers mes gardiens�et je les toisai avec mon air arrogant:

Lib�r�e par ces d�clarations, lassembl�e sen donnait � c�ur joie�; les insultes, les hu�es pleuvaient sur moi.

Pour bien me ridiculiser devant mon personnel, elle mavait fard� le bout des seins avec un rouge � l�vres criard et men avait couvert les l�vres en d�bordant partout. Jenlevai ma robe puis mon string en gardant mes jambes bien tendues pour le faire glisser jusqu� terre et en me penchant vers lavant pour exciter tous ces porcs qui se r�jouissaient de ma d�ch�ance.

Une fois en position, morte de honte, humili�e mais aussi de plus en plus excit�e, je faisais face � tous ces gens qui, il y a peu, me parlaient avec respect et mob�issaient et qui � pr�sent, me huaient, minsultaient et se moquaient de moi. Tous avaient sorti leurs portables et prenaient des photos ou me filmaient, dans une ambiance indescriptible. Jessayais de garder la t�te haute et le regard fier malgr� les tomates pourries quon lan�ait sur moi. Les femmes �taient les plus cruelles, visant mes seins avec des pommes achet�es � la h�te � la cafeteria. Javais une envie folle de me masturber�

Madame Olga demanda alors aux gardiens de commencer ma pr�paration. Un des gardiens me riva aux chevilles des fers tr�s lourds et rouill�s, reli�s par une grosse cha�ne de pr�s dun m�tre.

Mes poignets furent ferr�s �galement, mais seul un anneau reliait les deux fers si bien que je ne pouvais absolument plus bouger mes mains, les mains derri�re le dos. Je n�tais d�sormais plus ma�tre de mon propre corps. Mon excitation grandissait�; le poids des cha�nes, tous ces gens, les ordres des gardiens me mettaient dans un �tat second.  Mon sexe �tait tremp�

Assise sur un tabouret, on me coupa les cheveux avec des ciseaux. Les m�ches tombaient sur mon corps et sur le sol, m�l�es � mes larmes de rage et de honte. Le gardien sempara alors dun rasoir �lectrique et me tondit le sommet du cr�ne, laissant les c�t�s garnis comme un homme atteint de calvitie. Il ramassa deux m�ches au sol et me les enfon�a dans les narines puis me promena sur toute la sc�ne pour que tout le monde puisse bien se moquer et me prendre en photo.

Il reprit son travail et en quelques passages, ma t�te fut aussi lisse quun �uf. Nouvel interm�de pour bien me soumettre aux moqueries de la salle� Jamais, m�me dans mes r�ves les plus pervertis, je navais pens� � une telle humiliation. Jen savourais autant que jen ha�ssais chaque moment. Mon excitation �tait � son comble. Et la vision de mon ex-secr�taire au 1er rang vint encore laugmenter.

Je voulus bondir au-devant de la sc�ne pour lui cracher dessus mais mes deux gardiens me rou�rent de coups. Ils me firent rejoindre mon tabouret en rampant, sacharnant sur moi � grands coups de pieds.

Maintenue fermement par un des gardiens, le second et Madame Olga me perc�rent les grandes l�vres avec un poin�on chauff� � blanc et je fus ferm�e par un lourd anneau de m�tal. Je m�vanouis presque, foudroy�e par la brulure fulgurante mais je subis vaillamment ce 1er supplice.

Nue, encha�n�e, la t�te ras�e, mes mamelles et mes fesses expos�es � tous, le sexe distendu par lanneau, j�tais devenue une sorte de b�te curieuse et mon sort devait en effet faire r�fl�chir et se tenir tranquille la population. Les nouvelles lois de ladministration p�nitentiaire avaient donn� naissance � des artistes de lhumiliation comme Madame Olga�

Pourtant je navais plus quun d�sir, vivre ma nouvelle vie desclave et me soumettre de la plus honteuse des fa�ons. Malgr� lanneau qui me fermait le sexe, la cyprine coulait sur lint�rieur de mes cuisses, ce que pouvaient voir les spectateurs des 1ers rangs.

Je me jetai � genoux devant Madame Olga, attendant ses ordres.

Je fis ce quon mavait ordonn�. Sur un geste de la fonctionnaire, un des gardiens me maintint la t�te au sol en appuyant sa semelle sur mon cou. Pendant que le deuxi�me for�ait mes sphincters avec une sorte de pompe � v�lo remplie dun liquide visqueux quil vida dans mes entrailles en riant.

Pour que tu la chies pas, on va te mettre �a dans le cul�; autant que tu thabitues directement � notre calibre, car dans la prison, presque tous les gardiens sont blacks et ils aiment pas les esclaves blanches au cul trop serr�!!! me dit-il en me montrant un �norme phallus dacier termin� � sa base par un anneau retenant une cloche de vache, quil fit tinter joyeusement.

Ce fut imm�diatement la ru�e et une bousculade vers lestrade. Jesp�rais que Lillian serait choisie pour me sodomiser avec le phallus mais ce fut finalement mon ex-chauffeur qui fut le plus rapide. Je d�cidai de ne pas le d�cevoir. C�tait un gros homme chauve, tout proche de la retraite, assez primaire avec un regard born� et s�v�re. Essouffl� par sa lutte pour arriver sur sc�ne, il se planta devant moi, h�sitant.

Aussit�t, je me mis respectueusement � genoux en le regardant dans les yeux, les reins cambr�s et les seins offerts.

Semparant du godemich�, il lappuya contre mes sphincters et je le laissai p�n�trer en moi au plus profond de mes entrailles. Je poussai un r�le de plaisir, les yeux mi-clos en donnant moi-m�me une derni�re pouss�e pour bien mempaler sur le gigantesque phallus.

Je devenais folle en me contorsionnant sur le phallus dacier et, abandonnant toute pudeur, je me perdis dans lavilissement�:

Apr�s discussion avec la fonctionnaire, mon ex-chauffeur opta pour me donner 10 coups de r�gle sur les seins. On lui donna une latte plate en m�tal souple de 60 cm quil tapota dune main sur lautre puis Monsieur Ren� me la mit sous le menton pour me relever le visage et me dit�:

J�coutai � genoux les paroles de mon bourreau et je le regardai droit dans les yeux alors qu� 10 reprises, il abattait sa r�gle sur mes seins. Apr�s quelques coups, je hurlais sans retenue et lui me frappait de plus en plus fort, faisant bondir mes seins de fa�on obsc�ne, pour le plus grand plaisir des 300 spectateurs.

Mes seins stri�s de marques rouges avaient presque doubl� de volume sous les coups. Cette brute avait une force hors du commun. J�tais � ses pieds, vaincue� Je le remerciai en lui baisant longuement les pieds sous l�il amus� de mes gardiens. Il redescendit de la sc�ne  sous les applaudissements de mes ex-employ�s.

Allez, feignasse, l�ve-toi, il est temps de partir�; on tattend � la prison�! mordonna Madame Olga.

Je me relevai avec difficult�, empal�e par mon godemich�, mes seins et mon sexe pierc� me faisant souffrir mille douleurs. Pendant quelle me mettait en laisse, Madame Olga me fit remarquer�:

En laisse derri�re la fonctionnaire, nous descend�mes nous frayer un passage � travers une haie dhonneur improvis�e par les employ�s. Les gardiens qui me suivaient ne faisaient rien pour me prot�ger des gifles, des crachats, des pincements, que minfligeaient mes anciens employ�s.

Ding, dilling, tintait la cloche honteuse qui pendait entre mes fesses pour me ridiculiser � chaque pas.

Un groupe de secr�taires qui me d�testaient et me jalousaient brandissaient leurs agrafeuses. Elles sacharn�rent sur mes seins et mes fesses, me faisant pousser des cris stridents, tirant vainement sur ma laisse et mes cha�nes pour �chapper � leurs morsures.

Japer�us le groupe des veilleurs de nuit�; je me dirigeai vers eux et magenouillai sans un mot. Ils me ross�rent � coups de poings et de pieds.

Arriv�s � la sortie de limmeuble, je regardai derri�re moi une derni�re fois la vie que je quittais. En me retournant pour monter dans le fourgon cellulaire, je ne pus masquer ma honte car devant moi se trouvait Lillian, le sourire narquois.

Lhumiliation et la rage �taient trop fortes et je la toisai dun ��sale petite garce, tu savoures ta vengean��� Mais je neus pas le temps de finir ma phrase�: un des gardiens mass�na un violent coup de poing dans le ventre qui me fit tomber aux pieds de ma d�nonciatrice.

Regarde-moi bien, je vais te faire un cadeau pour ton d�part. Et lentement, elle se pencha et me gratifia dun gros crachat.

Malgr� ma honte et ma rage, je sentais monter en moi une incroyable excitation mon vagin �tait tremp� et lanneau qui me maintenait ferm�e, frottait contre mon clitoris, y faisant battre mon sang et chaque pulsation et mouvement infime de mes cuisses me rapprochait de la jouissance. J�tais nue, couverte de cha�nes devant ma rivale, vaincue, contrainte de mhumilier moi-m�me devant elle et jaimais �a. Pour rien au monde, je naurais voulu revenir en arri�re. Dans la rue, les passants sarr�taient et sapprochaient du fourgon, avides de satisfaire leurs mauvais instincts comme chaque fois quune femme nue quittait le monde libre pour rejoindre celui des esclaves.

Madame Olga mordonna de me relever pour le d�part.

Javais une envie terrible duriner depuis que j�tais arriv�e sur sc�ne mais je navais plus os� demander la permission. A pr�sent, avec le coup de poing du gardien, ma vessie ne pouvait plus r�sister et malgr� mes efforts d�sesp�r�s pour me retenir, je me laissai aller devant tout le monde, debout jambes �cart�es, offrant un dernier cadeau � celle qui mavait envoy� en prison.

Puis me regardant dun air bienveillant�: tu les aimais tellement, ces chaussures et maintenant quelles sont � moi, tu les abimes avec tes gouttes de pisse�; ce nest pas bien me dit-elle, dun ton de reproche, comme on parle � un petit enfant. Je savais ce qui mattendait�

Sans un mot, avec un sourire cruel, elle me montra le sol avec son doigt et me pr�senta un de ses pieds. La t�te basse, je me mis � genoux en serrant mes poings puis je me baissai pour nettoyer consciencieusement les escarpins que je portais autrefois. Ma langue l�chait la semelle, puis sattardait longtemps sur les talons aiguilles, comme une prostitu�e v�n�rant le sexe de son client.

Qui maurait dit que je ferais un jour des choses aussi honteuses, nue � genoux en pleine rue, pataugeant dans ma propre pisse, devant des dizaines de passants amus�s. Pourtant, je naurais pour rien au monde voulu revenir en arri�re. A partir de ce moment, je devenais pleinement une esclave condamn�e � perp�tuit�, acceptant mon sort, abandonnant toute pudeur et fiert�

Le fourgon memporta vers mon horrible destin. Je me demandais encore comment Lillian� ou plut�t Madame Lillian, devais-je dire, avait re�u mes v�tements et la bague� Les lui avait-on donn�s pour la r�compenser�? Ou alors� au proc�s, je lavais vue � c�t� ce mon mari. Est-ce que��?

Mais tout �a navait plus dimportance, � pr�sent.

Une traction sur ma laisse marracha � ma r�verie�: c�tait le gardien assis � ma droite qui r�clamait sa r�compense.

A genoux devant lui, jouvris docilement ma bouche pour le recevoir.









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