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Histoire de Sandrine (3)
Par Perverpeper le 28/06/08
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Synopsis�: Sandrine est une jeune lyc�enne. Quelques jours apr�s avoir f�t� ses 18 ans, alors que le baccalaur�at n’est plus qu’� quelques semaines, elle est enlev�e par une femme richissime qui l’initie aux peines et aux joies de la soumission.
L’amour est-il un mal dont on puisse gu�rir�?
D. A. F. Marquis De Sade
Chapitre 3�: Le harem de Madame.
Protagonistes�:
Sandrine�: Jeune lyc�enne �g�e de 18 ans depuis quelques jours.
Madame�: Jolie blonde d’une quarantaine d’ann�es Ma�tresse de Lisette.
Lisette�: Petite soubrette vicieuse, d’une vingtaine d’ann�es, au service de Madame.
Christelle�: �me damn�e de Madame. Elle fait office de chauffeur et prend beaucoup de plaisir � faire souffrir.
Ghislaine�: Amie de Sandrine.
Sylvie�: Amie de Sandrine
Lee�: Doctoresse, amie de Madame
��Approche-toi un peu jeune fille� Que je puisse voir de plus pr�s � quoi ressemble mon nouveau jouet.�� Son ton glacial et imp�ratif ne souffre aucune contradiction. Bouger un peu me soulage car cette position inconfortable commen�ait � me provoquer des fourmis dans les jambes. Confiante dans mon "relooking", je m’avance vers elle, � genoux, �vitant soigneusement de la regarder. La proximit� de Sylvie et Ghislaine me rassure un peu, bien leurs yeux band�s les emp�che de soup�onner de ma pr�sence. Elles ne semblent pas avoir �t� maltrait�es, au contraire, vu le plaisir qu’elles prennent � se d�grader ainsi.
��Que tiens-tu dans ta bouche, ma jolie�?�� Nous y voil�� Je sens mes joues rougir. Elle s’est assise en face de moi. ��Plus pr�s, ne sois pas timide. Viens entre mes jambes.�� D�s que je suis � port�e de main, elle se saisit du sous-v�tement et l’extirpe de ma bouche en le tenant d�daigneusement entre le pouce et l’index. ��On dirait une culotte.�� Les mots claquent dans mes oreilles. ��Quelle dr�le d’odeur.�� Elle la porte � ses narines. ��Beurk�! �a empeste l’urine.�� Chaque remarque me fait l’effet d’une gifle. J’imagine sa moue d�go�t�e. Elle me la r�introduit sans m�nagement entre les l�vres, apr�s me l’avoir frott� sur le nez.
Lisette revient. Elle porte un plateau de rafra�chissements duquel provient un joyeux tintement des gla�ons. Je l�ve les yeux vers elle. Avec distinction, elle le d�pose sur la petite table et sert un verre de soda � sa patronne. Puis elle retourne s’agenouiller au m�me endroit que pr�c�demment. Malgr� ma gorge compl�tement dess�ch�e, j’en salive d’envie. Je me sens mis�rable, agenouill�e l�, avec cette culotte inf�me dans la bouche. Je me surprends � esp�rer un peu de mansu�tude de la part de cette femme si d�testable et si fascinante � la fois.
Ma tourmenteuse se retourne vers moi. Je baisse les yeux. ��Regarde-moi dans les yeux, Sandrine.���J’ob�is. Elle darde sur moi un regard hypnotique auquel j’ai du mal � r�sister. ��Je vois que tu as bien appris ta le�on. �a m�rite une r�compense.�� Elle me fixe, avec un petit sourire de contentement. Son visage finement cisel�, ses seins parfaits, ni trop gros ni trop petits qui se dressent fi�rement sans pendre sur sa poitrine, contrastent avec les miens que je trouve si petits. Ses grands yeux bleus parfaitement maquill�s me mettent mal � l’aise. Je d�tourne le regard pour fixer le verre qu’elle tient � la main.
��Lisette�!��
��Oui Madame.��
��Sert un soda � notre amie s’il te pla�t.��
��Bien Madame.��
Je n’en crois pas mes oreilles. Ma soif se fait encore plus pressante.
��Joli travail, ma fille, elle est ravissante.��
��Merci Madame.��
La blonde se l�ve et fait le tour de ma nudit�. ��Vraiment ravissante. Elle est � croquer. Redresse toi, Sandrine.�� Le m�me ton, imp�ratif. Partag�e entre le plaisir que me procurent les compliments et l’appr�hension, je me redresse tant bien que mal. Du bout du doigt, elle essuie une goutte de sueur qui ruisselle le long de mon cou. Distraitement, elle effleure ma poitrine en me contournant une nouvelle fois. Elle flatte mes fesses. Un cliquetis, quelques secousses sur les bracelets qui m’entravent et mes mains sont libres. Mon moral remonte en fl�che. � Les mains derri�re la t�te, jeune fille.�� D��ue, je m’ex�cute. Un nouveau cliquetis et mes mains sont attach�es � mon collier. Son souffle me chatouille dans le creux du cou. Elle s’empare de mes seins et les caresse doucement, s’attarde sur mes t�tons, s’amusant � les tirer � les pincer entre le pouce et l’index. Plus forte que la douleur, une onde de plaisir irradie depuis ma poitrine jusqu’� mon bas-ventre. Elle se replace devant moi et m’agace les pointes, du bout de ses ongles, en me regardant dans les yeux. Je n’arrive pas � soutenir son regard. Pieds nus, elle me domine de cinq bons centim�tres.
���a vient Lisette�!�� dit elle sans cesser de me fixer.
��Voil� Madame.�� R�pond la petite bonne en lui tendant un grand verre de soda rempli de gla�ons.
Sans un remerciement, la blonde attrape le verre et me le pr�sente sous le nez. ���a doit avoir meilleur go�t que ta culotte. Tu ne crois pas.�� J’acquiesce de la t�te, m’appr�tant � cracher le morceau de nylon mais, d’un doigt, comme si elle lisait dans mes pens�es, elle m’en emp�che. ��Je te dirais quand tu pourras la l�cher.�� Et elle repousse le sous-v�tement un peu plus loin dans ma bouche. Au supplice, je regarde le verre s’approcher de ma poitrine. Un peu de condensation s’est form�e sur les bords et je tr�saille lorsque l’humidit� glac�e entre en contact avec le bout de mes seins. Il me semble qu’ils s’allongent encore.
���carte les jambes.�� J’ob�is autant que me le permet la cha�ne qui bloque mes chevilles. Le verre glisse le long de mon ventre, toujours plus bas. La sensation, d�sagr�able au d�but, me rafra�chit. Frissons sur frissons me parcourent de la t�te aux pieds. Soudain, une bouff�e de chaleur explose dans mon ventre. Sa main libre a pris le verre de vitesse et s’est faufil�e entre mes cuisses. Un index inquisiteur s’introduit entre les l�vres de mon sexe et �lit domicile au c�ur de mon intimit�. Une d�charge �lectrique explose dans mon clitoris. Elle explore quelques instants l’entr�e de mon vagin avant de remonter jusqu’� mon petit organe devenu hypersensible. Une nouvelle secousse t�tanise mes muscles. ��Lisette, d�tache ses chevilles et bande lui les yeux.�� La soubrette se pr�cipite. ��Petite d�prav�e.�� Me dit elle en �tudiant ses doigts luisants. ��Tu mouilles comme une fontaine.�� Son sourire moqueur ne temp�re pas mon d�sir.
���carte tes jambes mieux que �a.��
Le retrait de son doigt a fait na�tre en moi un immense sentiment de frustration. Mon cerveau ne m’appartient plus tant le d�sir me taraude les reins. Avec empressement, je d�place mes pieds de part et d’autre afin de lui offrir le meilleur acc�s possible � mes parties intimes. ��Penche la t�te en arri�re, petite d�vergond�e.�� Telle une drogu�e, je m’offre int�gralement, coudes �cart�s au maximum, bassin cambr� en avant, �cartel�e. Un foulard appara�t comme par enchantement dans mon champ de vision et vient obstruer ma vue. Plus rien ne compte. Seul un d�sir br�lant comme de la lave m’obs�de.
Une br�lure sur les l�vres me fait sursauter. Je r�alise qu’elle se sert d’un gla�on pour me caresser. D’un coup sec, elle m’arrache la culotte prisonni�re de mes dents et la remplace par le verre qu’elle verse tr�s lentement dans ma bouche. Je bois goul�ment jusqu’� la derni�re goutte. Le morceau de glace glisse le long de mon cou, atteint ma poitrine o� il se cantonne, alternant d’un t�ton � l’autre. La br�lure initiale se transforme en plaisir. Le monde cesse d’exister autour de moi. Je ne vis plus que pour cette caresse �trange qui me met dans tous mes �tats. J’attends, j’esp�re, je prie pour que sa main revienne entre mes jambes. Tous mes nerfs sont � fleur de peau. Telle un volcan qui menace d’entrer en �ruption, une monumentale vague de plaisir monte du plus profond de mon �tre.
Soudain deux l�vres chaudes se posent sur mes l�vres. Sensation exquise. Frissons et bouff�es de chaleur se succ�dent � un rythme infernal. Au m�me moment, la paume de sa main s’applique sur mon pubis, emprisonnant le gla�on contre mon clitoris� C’est trop� Mes jambes se mettent � trembler et mon corps m’�chappe. Je suis submerg�e par l’orgasme ravageur qui explose en moi. Sa langue se m�le � la mienne, �touffant les r�les de plaisir que ma gorge n’arrive plus � contenir. La notion de temps dispara�t, remplac�e par un besoin irr�sistible de profiter de chaque centi�me de seconde. Le gla�on p�n�tre l’entr�e de mon vagin. Un torrent en fusion d�vaste mes veines, semblant ne jamais finir. La morsure de ses ongles sur un de mes t�tons d�clenche une nouvelle bourrasque de plaisir qui m’engloutit.
J’ai d� perdre mes esprits pendant quelques instants car lorsque je reprends contact avec la r�alit�, je suis �tendue sur le transat de Madame. Jamais, pendant mes longues masturbations solitaires, je n’ai v�cu un orgasme aussi d�vastateur, aussi total. Mes poignets sont toujours attach�s derri�re ma t�te. Mes jambes sont en coton. Le moindre mouvement me fait trembler de tous mes membres. Je m’abandonne � cette b�atitude qui suit le plaisir. Le tissu de soie qui obstrue ma vue exasp�re mes sensations. La caresse du soleil me d�lasse progressivement. Une constatation implacable m’assaille�: Ma vie vient de prendre un tournant. Rien ne sera plus jamais comme avant�
Un claquement de talons me tire de ma r�verie. ��Tu dois avoir faim, Madame t’attend dans le bureau.�� Susurre la voix de Lisette. Elle m’�te mon b�illon, et avec une douceur toute f�minine, m’aide � me relever. Elle a gliss� son bras autour de ma taille pour me soutenir. Incapable de marcher droit, j’avance comme un boxeur groggy. Le soleil me fait mal aux yeux. Vue de la piscine, la maison para�t gigantesque. En face de nous, une baie vitr�e du double de la taille de celle par laquelle nous sommes sorties, enti�rement ouverte elle aussi, semble nous inviter � entrer.
La luminosit� ext�rieure m’emp�che de distinguer la pi�ce dans laquelle nous p�n�trons. Il me faut quelques secondes pour que mes yeux s’habituent � la diff�rence de clart�.
Je me vois comme une esclave antique que l’on offre � une reine cruelle. Une pulsation presque imperceptible se d�clare entre mes cuisses. � croire que l’humiliation accro�t mon d�sir. Je commence � avoir des doutes sur ma sant� mentale.
� l’extr�me droite de la pi�ce toute en largeur, Madame tr�ne sur une estrade. Elle est allong�e dans un petit canap� en cuir rouge dont le dossier �voque la forme d’une bouche. Tout � fait le genre de fauteuil qu’on pourrait s’attendre � rencontrer au "Crazy Horse Saloon". � sa droite, un �cran plasma, int�gr� au mur, semble retenir toute son attention. Derri�re elle, Christelle et une femme d’origine asiatique m’�valuent avec insistance. Nous avan�ons. Deux colonnes en marbre se dressent au milieu de la pi�ce, � quelques m�tres de l’estrade. Chacune est �quip�e de bracelets en cuir.
��Tiens, revoil� notre petite obs�d�e sexuelle.�� Lance la blonde � la cantonade, d’un ton sarcastique. Elle n’a pas quitt� le t�l�viseur des yeux. Je pique un fard. Mes pointes de seins s’�rigent. L’inconnue, aux traits tr�s fins, est v�tue d’une blouse blanche et un st�thoscope pend � son cou. Le canap� m’emp�che de la voir enti�rement, mais son d�collet�, tr�s �chancr�, r�v�le la naissance de ses seins. Ses yeux �tudient mon corps sans aucune retenue. Ma nudit� semble la captiver.
Madame est v�tue d’une superbe robe en cuir vert bouteille, tr�s courte, qui d�voile ses jambes immenses, gain�es de nylon noir. Ses pieds sont chauss�s d’escarpins rouges, � talons aiguilles, assortis au canap�. Jambes crois�es, elle tient � la main son fume-cigarettes, au bout duquel une cigarette ach�ve de se consumer. Son port altier lui conf�re une beaut� renversante.
���Fais-la asseoir � c�t� de moi.�� Ordonne-t-elle � la petite bonne, parlant de moi comme si j’�tais un objet.
Servilement, la soubrette me pousse vers sa patronne et m’aide � prendre place � c�t� d’elle. Devant mes yeux �bahis, l’�cran diffuse une vid�o dans laquelle je tiens le premier r�le. Brusquement, la sensation de chaleur, qui m’habitait jusqu’alors, dispara�t. Mon sang se glace dans mes veines. La sc�ne qui vient de se d�rouler � c�t� de la piscine, film�e avec profusion de gros plans sur mon visage et mon corps, d�voile de fa�on irr�futable le plaisir fantastique que j’ai �prouv� en me faisant humilier et malmener. Le sang quitte mon visage et un tremblement incontr�lable s’empare de mes membres. Sur l’�cran, Madame exhibe le gla�on avec lequel elle me caressait les seins et le tend vers la cam�ra avec un sourire malicieux, avant de le plaquer sur mon sexe. Le r�le de plaisir que je pousse en arquant mes reins � la rencontre de sa main d�montre ind�niablement que je suis parfaitement consentante.
��Tu as un potentiel �norme, ma ch�rie.�� Me dit la blonde en posant sa main sur ma cuisse. ��Tu joues avec un naturel inou�.�� Le monde s’effondre autour de moi. La pi�ce se met � tourner. L’air me manque. Ma vision se brouille. Tout devient noir.
Une odeur tr�s am�re, insupportable, me fait reprendre mes esprits. Je suis allong�e sur le canap� rouge, les pieds en hauteur. On m’a retir� mes entraves, ne me laissant que le collier de cuir qui enserre mon cou. Le visage de l’asiatique occupe tout mon champ visuel. Ses grands yeux noirs me fixent avec un int�r�t troublant. Elle range la bo�te qu’elle vient de placer sous mon nez et me parle d’une voix calme. ��Ne t’inqui�tes pas, je suis m�decin. Tu as fait un petit malaise. Probablement parce que tu n’as rien mang� depuis hier. Cette idiote de Lisette devait te faire manger avant de t’emmener au soleil.�� Sa voix s’est durcie en parlant de la petite bonne. ��Cette petite sotte n’a pas plus de jugeote qu’une dinde.�� La douceur avec laquelle elle caresse mon visage, contraste avec son ton s�v�re. ��Je t’ai fait une injection qui va te remettre sur pied dans quelques instants.�� Ses l�vres se posent sur les miennes. ��Tu es vraiment tr�s belle, Ir�ne a beaucoup de chance.�� Son visage est tr�s gracieux, et ses paroles me r�confortent quelque peu. J’h�site � lui donner un age. ��Et puis tu as eu beaucoup d’�motions aujourd’hui.��
��O� suis-je�?�� Ma voix ressemble � un r�le tant j’ai la gorge s�che. Elle me tend un verre avec un sourire attendri. ��Tu as l’honneur d’�tre h�berg�e par la duchesse Ir�ne de Villemonble.�J’avale goul�ment le liquide sucr� qui me laisse un petit arri�re-go�t amer. N’oublie pas que, pour toi, elle s’appelle Madame. C’est un conseil que je te donne.��
Petit � petit, mes forces reviennent. ��Pourquoi me garde-t-elle prisonni�re ici�?��
���a ma petite, �a n’est pas � moi de te le dire. Une chose est s�re, tu n’es pas prisonni�re, m�me si les apparences te laissent penser le contraire. Madame de Villemonble t’expliquera cela tout � l’heure.�� Elle place son st�thoscope entre mes seins. ��Respire profond�ment.�� J’ai le souffle rauque. ��D�tends-toi ma belle.�� Elle prend mon pouls. ��Bien, tu vas beaucoup mieux. Ouvre la bouche s’il te pla�t.�� � l’aide d’un b�tonnet en bois, elle explore ma gorge. ��C’est parfait. Assieds toi maintenant.��
Elle s’agenouille entre mes cuisses et enfile une paire de gants en caoutchouc. ��Mets tes pieds sur le bord du canap� et �carte les cuisses.�� La temp�rature de mes joues monte d’un cran. D’une main experte, elle �carte les l�vres de mon sexe. Je sursaute, son doigt vient de se poser � l’entr�e de mon vagin. ��Laisse-toi aller, �a ne te fera pas mal.�� Pendant un instant, elle explore d�licieusement l’int�rieur de mon sexe. ��Petite vicieuse, tu es dr�lement sensible.�� Elle plonge son index dans un petit r�cipient. ���carte tes fesses s’il te pla�t.�� Sans un mot, je m’ex�cute. Son doigt brille d’un produit gluant. Elle l’appuie contre mon anus. Un r�flexe contracte mes muscles intimes. ��Pousse.�� Dit-t-elle en l’introduisant progressivement en moi. Pour la deuxi�me fois de ma vie, mon sphincter anal doit livrer le passage � un doigt inquisiteur. Plus que le d�sagr�ment, le viol de cet interdit, solidement ancr� dans mon subconscient, me procure une sensation �trangement excitante qui me laisse perplexe. Je l’observe sans perdre une miette des manipulations qu’elle me fait subir. Une humidit� r�v�latrice est apparue entre les l�vres ouvertes de mon sexe. ���a te fait de l’effet, petite cochonne.�� Elle se penche sur mon entrejambe et sa langue trace un sillon humide sur toute la longueur de mon sexe. ��Tu as bon go�t.���
Je n’en reviens pas. Ces femmes me font subir les pires outrages et j’y prends du plaisir. Si j’avais pu imaginer, il y a quelques jours, ce que j’allais devenir�: Je me serai sauv�e en courant. ��Voil�, c’est termin�.�� Me dit-elle sans plus d’explications. ��L�ve toi maintenant. Si Madame te trouve sur son canap�, �a va la mettre en col�re. Cette pauvre Lisette est suffisamment en mauvaise posture, ce n’est pas la peine d’en rajouter.�� Elle prend ma t�te entre ses mains et m’attire vers elle pour m’embrasser � pleine bouche. Sa langue caresse longuement la mienne avant de m’abandonner, pantelante de d�sir. ��Allez, d�p�che-toi, elles ne vont plus tarder.�� Elle ponctue sa phrase d’une petite tape sur les fesses.
��Est-ce que je peux aller aux toilettes�s’il vous pla�t ? J’ai envie de faire pipi.��
��Pas pour l’instant ma jolie. Seule Ir�ne peut t’y autoriser.�Attend bien sagement ici.�� Et elle me laisse, seule au milieu de l’immense pi�ce.
Son ton sans appel me fait prendre mon mal en patience. Des picotements irritent mes jambes au fur et � mesure que ma circulation sanguine se r�tablit. Mes yeux errent, sans but, autour de moi tandis que mes pens�es s’�garent. Je contemple r�veusement les deux colonnes, �cart�es l’une de l’autre de pr�s de deux m�tres, m’imaginant attach�e l�, nue�; �cartel�e�; offerte. La pi�ce est immense, d�cor�e avec �norm�ment de go�t. L’opulence des lieux d�nonce le luxe dans lequel vit mon h�tesse. Les peintures qui ornent les murs ne repr�sentent que des femmes dont certaines ont �t� immortalis�es dans des positions suggestives. Sur l’une d’elles, un portrait d’une grande beaut� me fascine. Une jeune femme � la bouche b�illonn�e, semble me fixer avec des yeux irradiant un bonheur infini. Sur un autre, deux jeunes filles tr�s jeunes et � peine v�tues, s’embrassent du bout des l�vres. Elles sont l�g�rement voil�es par un flou artistique rappelant une photo de David Hamilton. Au fond de la pi�ce, un peu � la mani�re d’une reine, sur une toile grandeur nature, une repr�sentation de Madame occupe une bonne partie du mur. Mains sur les hanches, jambes �cart�es, coiff�e d’une casquette noire, elle est camp�e dans un ensemble compos� d’un pantalon et d’une veste en cuir assortis, tr�s moulants, de longs gants de la m�me mati�re et d’une paire de bottes en cuir verni � tr�s hauts talons. Du haut de sa place, son regard arrogant et si s�v�re que j’en frissonne, embrasse toute la pi�ce, comme si elle me surveillait. Les spots braqu�s sur la peinture lui conf�rent une pr�sence presque vivante. Le sol en marbre est recouvert d’un splendide tapis rouge, en laine exotique, tout en longueur, qui traverse la pi�ce et s’�tire de l’estrade jusqu’au tableau, en passant entre les deux colonnes de marbre blanc. En son centre, un deuxi�me tapis, identique, le croise et relie la baie vitr�e � une porte d’entr�e. Si je me suis bien orient�e, elle doit donner sur le couloir que nous avons emprunt� tout � l’heure. Perdue dans mes pens�es, j’imagine le tableau prendre vie et la duchesse s’avancer vers moi en foulant avec distinction le long tapis rouge.
Un claquement suivi d’un cri �touff� me font sursauter. ��Avance plus vite petite mollassonne�!�� Madame vient d’entrer dans la pi�ce, suivie par Lisette. Ma raison vacille. Elle porte exactement la m�me tenue que sur la peinture que je contemplais auparavant. � croire qu’elle vient de surgir du tableau.
Je remarque alors, � c�t� du tableau et donnant sur le centre du tapis, une double porte que la d�coration confond avec le mur. La petite bonne n’a plus sa robe noire et il ne subsiste de sa tenue de soubrette, que la coiffe et le tablier blancs qui contrastent avec ses bas noirs et son porte-jarretelles. Elle avance � genoux, les bras attach�s dans le dos et progresse difficilement sur le tapis. Des larmes brillent sur ses joues. Un curieux entrelacs de courroies en cuir lui cerne le torse, de la poitrine jusqu’� la taille. Arm�e d’une cravache, Madame avance d’un pas d�cid� en tirant sur une laisse fix�e � un collier de cuir identique au mien. Malgr� tous ses efforts, le rythme est trop rapide et la pauvre Lisette chute en avant.
��Maladroite�!�As-tu d�cid� de syst�matiquement me contrarier aujourd’hui�?�� Deux nouveaux coups de cravache vifs comme l’�clair atterrissent sur la pauvre fille. Un entrecroisement de marques qui rougissent � vue d’�il se m�le aux anciennes traces, plus sombres, qui constellent son corps. ��Redresse-toi vite ou il va-t’en cuire.�� Galvanis�e par la douleur, la soubrette roule sur le dos et se tortille �nergiquement pour se redresser. Deux petits anneaux pendent des pointes de ses seins qu’elle a aussi ridiculement petits que moi. Une rougeur suspecte, qui tranche avec la p�leur de son corps, colore son sexe imberbe.
Mon envie devient pressante. Timidement, je fais quelques pas vers les colonnes. Au prix d’un effort supr�me, j’arrive � vaincre ma timidit� et j’ose m’adresser � Madame qui vient droit vers moi. D’une toute petite voix, je lui demande�:�
� Est-ce que je pourrais aller aux toilettes s’il vous pla�t Mad����Une gifle me fait valser la t�te sur le c�t�.
��De quel droit m’adresses-tu la parole, petite effront�e�?��
J’�touffe un sanglot en baissant pr�cipitamment les yeux.
��Faut-il que je te fasse prendre la place de cette gourde de Lisette pour t’apprendre � respecter les quelques mis�rables consignes que je t’ai fix�es ce matin�?��
��Pardonnez-moi Madame, �a ne se reproduira pas.�� Courb�e par le poids de la culpabilit�, je m’agenouille � ses pieds.
��Je pr�f�re �a. Je veux bien te pardonner, mais��� Elle s’interrompt un instant, comme pour r�fl�chir. ��� condition que tu me donnes une preuve de ta bonne volont�. Une vraie preuve. Pas simplement un petit baiser comme ce matin���
Sa phrase rest�e en suspens tourne dans ma t�te. Plus je r�fl�chis, plus mon esprit se vide. Le challenge me paralyse. J’ai l’impression de replonger quelques ann�es en arri�re, lorsque petite fille, prise en faute, je ne trouvais rien � dire pour me justifier. Des larmes de d�pit viennent se m�ler � celles caus�es par la gifle. D�sesp�r�e, accabl�e par mon impuissance, je fonds en larmes. Courb�e sous le poids du chagrin qui me ravage, mon visage se trouve � quelques centim�tres de ses bottes.
Je me jette � ses pieds et j’enlace ses chevilles. La joue appuy�e contre le cuir verni, je plaide d�sesp�r�ment ma cause. ��Je suis vraiment d�sol�e Madame.�Pardonnez-moi, je vous en prie.�� Pour donner plus de poids � mes suppliques, je d�pose un baiser sur le bout de son pied.
��Pas mal, jeune fille. C’est un bon d�but. Je suis s�re que tu peux �tre encore plus convaincante.��
Encourag�e par ses propos, je redouble d’efforts. L’odeur du cuir p�n�tre mes narines. Avec d�votion, je d�pose mille baisers sur ses bottes. Je frotte mon visage contre le cuir brillant.
R�confortante, sa voix rauque me parvient du haut de ses longues jambes. ��Bien, tu commences � comprendre, Sandrine. Tu y es presque.�� Du bout de sa cravache, elle me caresse la joue.
Pr�te � tout pour calmer son courroux, je l�che avec veulerie les pointes de ses bottes sans pr�ter attention au go�t du cuir qui envahit ma bouche.
��Enfin� Nous y voil�.�� Dit-elle avec douceur. ��Tes mains maintenant.��
Sans une h�sitation, je les croise dans mon dos et continue, humblement, � rendre hommage � ses pieds, les noyant de salive et de larmes.
Elle m’interrompt en reculant d’un pas.
��C’est bien, tu es pardonn�e. Veille � ce que cela ne se reproduise pas.�� Tirant d’un coup sec sur la laisse, elle me contourne en entra�nant Lisette � sa suite et se dirige vers le canap�. ��Avance, toi�! La r�cr�ation est termin�e.�� Son ton c’est � nouveau durci.
Je reste b�tement entre les deux colonnes, assise sur mes talons. Mon envie d’uriner s’est calm�e. Le d�sint�ressement dont elle fait preuve � mon �gard me blesse plus que la gifle et l’humiliation d’avoir du l�cher ses bottes. De quels pouvoirs, cette femme dispose t-elle pour me fasciner � ce point. Mes t�tons sont durs comme du bois une frustration terrible ravage mon ventre.
��Sandrine�! Viens pr�s de moi.�� Avec un immense soulagement, je m’empresse de les rejoindre. L’id�e qu’elle puisse s’occuper de Lisette sans plus m’accorder d’attention m’�tait insupportable. Sans quitter Lisette des yeux, elle tapote distraitement le cuir � c�t� d’elle pour m’inviter � m’asseoir.
Debout devant sa patronne, les jambes �cart�es et les yeux baiss�s, la jeune fille attend le bon vouloir de sa Ma�tresse. Je constate avec effarement � quel point la chair tendre de son pubis et son sexe est rouge et boursoufl�e. L’id�e d’avoir re�u un coup de soleil � cet endroit me para�t pourtant saugrenue. Visiblement, elle souffre car ses m�choires, soud�es par l’effort qu’elle fait pour retenir ses g�missements, font blanchir ses l�vres. Nos regards se croisent, mais elle d�tourne aussit�t le sien. Ses paupi�res sont rougies par les larmes et son rimmel, qui fait de longues traces noires sur ses joues, ne parviennent pas � l’enlaidir.
��Tourne-toi Lisette.�Position n�5.�� La petite bonne nous pr�sente son dos, se penche en avant et, jambes largement �cart�es, place ses mains sur ses fesses pour les �tirer en pr�sentant son anus. Madame taquine le petit orifice du bout de sa cravache. ��Je me demande si je ne vais pas t’en mettre ici aussi.��
��Piti�, Madame.�� Sa petite voix est pitoyable, entrecoup�e de sanglots. Je ne comprends pas de quoi elles parlent. ��Je vous en supplie, pas dans le cul��� Un coup de cravache cinglant lui coupe la parole. Une nouvelle marque rouge appara�t.
��Quand vas-tu comprendre que tu ne dois plus t’exprimer de cette fa�on orduri�re�?�Si tu crois que c’est comme �a que tu vas r�ussir � m’amadouer, tu te trompes lourdement ma fille.�� Elle se tourne vers moi. ��N’est elle pas ridicule�?�� De nouveau, son regard me subjugue. Je ne sais quoi r�pondre. ��Il faudrait savoir ce que tu veux, jeune fille. Tu parles sans y �tre autoris�e et quand je te questionne, tu ne r�ponds pas. Je trouve �a contrariant�!��
��N� Non, non, Madame. Je suis d�sol�e. C’est que je ne sais pas quoi dire.��
��Un bon point pour toi, ma belle. Quand on n’a rien � dire, il vaut mieux se taire.��
Mon c�ur s’acc�l�re. Son ton blessant ne fait qu’ajouter � mon humiliation.
��Lisette, va me chercher cette sauce que tu aimes tant s’il te plait.�Et ne tra�ne pas.�� Sanglotant de plus belle, la jeune fille quitte la pi�ce en courant sur ses hauts talons.
��Alors Sandrine, te sens-tu mieux maintenant�?��
��Oui Madame, je ne sais pas ce qui m’est arriv� tout � l’heure.��
��Tu n’y es pour rien. Cette t�te de linotte avait pour consigne de te faire manger quelque chose cet apr�s-midi. Mais rassure toi nous n’allons plus tarder � passer � table.��
Elle caresse ma joue de sa main gant�e. ��Ce soir, tu partages ma table. Le temps que je finisse de m’occuper de cette idiote et nous pourrons nous restaurer. Demain tu retournes chez toi.��
Cette r�v�lation me fait l’effet d’un coup de massue. ��Vous voulez dire que vous allez me lib�rer�?��
��Bien s�r, petite sotte, tu apprendras que je ne force personne. Je n’ai aucun besoin de garder ici des gens contre leur volont�. Je connais Ghislaine et Sylvie depuis plusieurs mois par le biais de mon agence de mannequins. C’est l�-bas que nous nous sommes rencontr�es. Christelle leur a fait un "book" et je pense qu’elles feront partie du prochain d�fil� de Karl.��
��Karl� Karl Lagornfeld�???��
��Lui-m�me ma ch�rie, c’est un de mes bons amis.�"Angels" lui fournit l’essentiel de ses mannequins depuis pr�s de vingt ans.��
Angels� Je n’en reviens pas. C’est une agence de mannequins de renomm�e mondiale.
C’est lui qui m’a pr�sent� Lisette. Il l’a remarqu�e lors d’une visite dans un lyc�e professionnel de la r�gion parisienne ou il �tait l’invit� d’honneur. Il assistait � une pr�sentation des m�tiers de la mode. Cette petite sotte s’imaginait qu’un jour, elle d�filerait. Comment peut-on �tre stupide � ce point. Elle s’imaginait que son joli minois, sa taille fine et son m�tre cinquante-cinq lui suffiraient pour devenir mannequin. � sa d�charge, elle a pass� toute son enfance dans une cit� de banlieue. Ceci expliquant cela, j’ai eu toutes les peines du monde � lui inculquer les bonnes mani�res���
Le retour de Lisette, toujours en larmes, l’interromps.
��Ce n’est pas trop t�t. J’ai bien cru que j’allais devoir aller te chercher.��
Sans r�pondre, la petite bonne reprend sa position. Elle tient entre ses mains entrav�es, un tube de sauce "harissa" dont Madame s’empare et me le tend, tandis que la jeune fille �carte � nouveau les globes parfaitement ronds de ses petites fesses.
��Cette petite pimb�che est � mon service � plein temps depuis plus de trois ans maintenant. Crois-tu que ces trois longues ann�es, au cours desquelles j’ai consacr� un temps infini � lui inculquer les bonnes mani�res, aient port� leurs fruits�?��
Sans me laisser le temps de r�pondre, elle encha�ne. ��M�me pas. Il faut toujours qu’elle trouve quelque chose � oublier. D�s que j’ai le dos tourn�, elle se laisse aller, elle est s’exprime aussi vulgairement qu’un charretier.��
Les reniflements de Lisette me font mal au c�ur.
��Mais tout cela n’est qu’une com�die. En fait cette petite n’est qu’une vicieuse qui adore souffrir.��
��Non Madame je���
��Tais-toi petite effront�e. Je ne t’ai pas donn� la parole.��
Elle fait glisser son index gant� contre le sexe de la soubrette et me le tend, humide, tremp� par les s�cr�tions de Lisette.
��Regarde, elle est tellement mouill�e que c’en est une honte. Cette petite d�vergond�e adore se faire malmener. Plus elle souffre, plus elle aime �a.��
Elle a saisi une de ses l�vres intimes entre le pouce et l’index et la pince en l’�tirant cruellement.
��Sandrine, met moi un peu de sauce piquante ici s’il te pla�t.�� Dit-elle en me tendant son index.��
Avec un m�lange de d’horreur et de curiosit�, je d�visse le tube et fais ce qu’elle me demande. Un petit colombin de sauce rouge s’enroule sur le bout de son index.
��Un peu plus, s’il te pla�t.�Voil�, parfait��
Lisette sanglote de plus en plus bruyamment, ses reniflements emplissent la pi�ce. Ses mains sont crisp�es sur ses deux globes fessiers et j’ai l’impression qu’elle les �carte un peu plus, comme pour faciliter l’acc�s � son anus. De l’index de sa main libre, Madame agace le sphincter de sa bonne.
��Pousse, ma ch�rie, tu ne voudrais pas que �a d�borde et que �a tache le tapis, j’esp�re�?��
��Non, Madame.��
D’un petit mouvement musculaire, le rectum se d�tend pour accueillir l’index gant� de la blonde qui, par petites rotations, p�n�tre l�g�rement, avant de ressortir et pr�lever un peu de sauce sur le colombin rouge sang. Ce spectacle obsc�ne me captive. Une excitation proche de celle que j’ai ressentie pr�c�demment � la piscine commence � me torturer. Une goutte de cyprine s’�chappe du sexe de Lisette et pend au bout d’un petit fil gluant. D�licatement, proc�dant par petites touches, Madame enduit l’anus de sa bonne avec la sauce piment�e. Un profond soupir nous parvient de la gorge de la soubrette.
��Regarde le bon c�t� des choses, �a va te lubrifier.��
Je n’ose m’imaginer la br�lure que ressent Lisette. Le piment doit lui irriter les muqueuses de fa�on infernale. Le doigt est maintenant engag� profond�ment dans les entrailles de la jeune fille. M�thodiquement, elle fait p�n�trer l’int�gralit� de la sauce dans le sphincter. Les g�missements de la supplici�e se font de plus bruyants. Sa respiration s’acc�l�re.
��Maintenant, tu as une bonne raison d’avoir le feu aux fesses.��
De ma place, je vois son corps se couvrir de transpiration. De grosses gouttes coulent sur son front.
��Il est temps de passer � table.��
Elle se l�ve et d�tache les poignets de la petite bonne.
��Interdiction de te nettoyer pour l’instant. Je demanderai � Christelle de v�rifier tout � l’heure. Compris�?��
��Oui Madame.��
��Parfait, d�p�che-toi de pr�parer ton service et de mettre la table. Je te donne dix minutes��
Lisette nous quitte en courant. Elle tr�bucher sur ses talons en sortant de la pi�ce. Un peu hagarde, je me l�ve moi aussi.
��Approche toi, jeune fille.�� Me dit la blonde en se rasseyant.
Comme une obsession, le spectacle auquel je viens d’assister se r�p�te inlassablement dans ma t�te. Je m’approche avec m�fiance.
��Je veux v�rifier tes capacit�s � t’adapter au mode de vie en vigueur ici. Position n�1, entre mes jambes, imm�diatement.��
Mon cerveau ne fait qu’un tour. Je m’agenouille aussit�t, cuisses �cart�es, bras crois�s dans le dos, face � elle. La sc�ne avec la sauce piquante me donne des ailes.
��Bien Sandrine.��
Je n’avais aucun m�rite, avec la 5, c’�tait la seule que je connaissais.
��Plus difficile maintenant�: Position n�2.��
Un vent de panique tourbillonne un instant dans ma t�te. La s�ance au bord de la piscine me revient � l’esprit tandis qu’un frisson exquis me parcourt le bas-ventre. Dans le doute, je croise mes mains derri�re ma nuque.
��Bravo, ma jolie��
Sa voix rauque, empreinte de douceur, me r�conforte.
��Approche toi un peu plus.��
Un peu rassur�e par mon succ�s, je m’avance entre ses jambes.
��Cambre toi, t�te en arri�re� Bien. �carte tes coudes et tes genoux� Plus que �a. Voil�. Les yeux ferm�s maintenant� Parfait.��
Je lui offre mon corps �cartel�, offert, int�gralement soumis � tous ses caprices. La promptitude avec laquelle j’ex�cute ses ordres me sid�re. Je me demande si c’est la peur ou le d�sir de lui plaire qui me motive le plus.
��Excellent Sandrine. Tu apprends vite.��
Elle flatte mon menton, caresse mon cou.
��N’aie pas peur ma jolie, je n’ai pas l’intention de te punir pour l’instant.��
Mes pointes de mes seins sont tendues, dures comme du bois. Elle s’en empare des deux mains et les roule entre pouces et index. Je sens mon sexe s’ouvrir pour une qu�te silencieuse. Un r�le s’�chappe de ma gorge avant que j’aie pu le r�fr�ner.
��Tu me plais beaucoup. Je vais avoir du mal � te laisser partir.��
La pression de ses doigts gant�s s’accentue. Mon d�sir s’impose encore plus � ma raison. Un contact froid et dur me surprend entre mes l�vres intimes. Ind�cise, je laisse mon esprit vagabonder, imaginant qu’elle vient de glisser un vibromasseur entre mes jambes. L’intrus se fait plus pressant. Plus imp�rieux et force doucement mais fermement l’entr�e de mon sexe. Je me cambre d’avantage. La pression se transforme en frottement d’avant en arri�re. L’objet parcourt ma fente sur toute sa longueur. Le pincement devient douloureux. Aussi incroyable que cela puisse para�tre, mon d�sir s’accro�t d’autant. Plus la morsure de ses doigts augmente, plus j’offre mon sexe � la caresse insolite qui le ravage.
��Il suffit. Regarde-moi.��
Une immense frustration s’empare de moi. La brusquerie avec laquelle, elle se d�sint�resse de mon corps est presque douloureuse. J’ouvre les yeux en poussant un g�missement de frustration. Christelle et le docteur Lee sont toutes deux assises sur le canap�, de part et d’autre de Madame. Une honte terrible m’envahit.
��Petite cochonne�! Tu m’as tremp�e. Nettoie moi �a imm�diatement.��
Elle pointe sa cravache sur le bout de sa botte luisant de mes s�cr�tions intimes. Les deux autres femmes me regardent avec un air entendu.
��D�p�che toi, nous allons passer � table.
Je ne sais plus ou j’en suis, frustration, honte, plaisir et douleur valsent dans ma t�te. Un coup de cravache me cingle la hanche.
��Je n’ai pas l’habitude de me r�p�ter. Serait tu devenue sourde�?��
Il ne m’en faut pas plus. Je me penche � quatre pattes pour lui ob�ir.
��Position n�1.��
Servilement, je croise mes mains dans mon dos. la quantit� incroyable de cyprine dont j’ai macul� la pointe de sa botte me surprend. Avec veulerie, j’entreprend de l�cher le bout de son pied sous les yeux des trois femmes. Mon avilissement est complet. Je suis maltrait�e, humili�e et plus on me rabaisse plus mon excitation augmente. Quelle esp�ce de d�prav�e suis-je donc�?
��Lisette�! En as tu encore pour longtemps ou allons nous y passer la nuit�?��
��C’est pr�t Madame.��
Sans un mot, elle me repousse du plat de son autre semelle et se l�ve. Puis, se ravisant, elle se rassoit.
��L’autre.�� Dit-elle en me tendant son pied gauche.
� venir�: Premier contrat.
Vous pouvez trouver les illustrations sur mon site�: http://www.perverpeper.com
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