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Viols au lyc�e 3 – La m�re du jeune basketteur
High School Rape Club - III
Coulybaca / Black Demon
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D�s qu'il avait pos� les yeux sur elle, Marcus Green avait admir� la sensuelle m�re de Paul Deming un nouvel �l�ve de premi�re ann�e.
Le jeune blanc �tait de petite taille, assez talentueux pour un premi�re ann�e, mais �tait-il capable de se faire remarquer parmi l'�lite de ce stage, il pourrait s�rement int�grer l'�quipe de basket des premi�res ann�es.
A la vue de la ravissante et sophistiqu�e rousse s'arr�tant pr�s de lui pour regarder la fin de l'entra�nement de son fils, Marcus sentait monter une puissante envie de s'la faire.
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Dieu merci, il portait un short ample aujourd'hui, sinon tous les parents qui venaient normalement le premier jour d'entra�nement, auraient pu admirer sa trique.
Ayant vu le geste discret que le jeune ado avait adress� � sa m�re, l'esprit pervers de Marcus s'�tait mis en route.
Normalement les nouveaux joueurs de l'�quipe ne s'entra�naient pas � tirer au panier, c'�tait r�serv� aux anciens, mais dans ce cas Marcus lors d'un arr�t demanda � deux d�fenseurs de le marquer, Paul fit un beau tir et marqua.
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En tant que capitaine de l'�quipe premi�re de basket, Marcus �tait d�cid� � prendre Paul sous son aile, il l'aiderait � int�grer l'�quipe, tout au moins jusqu'aux derni�res s�lections.
Quatre des cinq d�butants s'�tait retourn�s, chacun esp�rant avoir son tour, mais la n�cessit� d'observer les r�gles de d�part les concernait.
F�licitant le jeune ado d'avoir r�ussi son tir, Marcus lui dit :
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Apr�s la longue tr�ve estivale, il �tait temps de relancer l'�quipe B, comme Joey avait obtenu son dipl�me, c'est � lui de la prendre en charge et de la mener en tant que capitaine et de leur inculquer la joie de jouer.
Se dit Marcus en lui m�me :
En fait, comme Joey Thomas partait et avait obtenu son dipl�me, tous les joueurs voulaient marquer l'�v�nement, le meneur de la bande avait entra�n� les autres en fin d'ann�e derni�re � enlever les chaudes n�nettes blanches de Porterville et de s'les faire.
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La premi�re avait �t� Lori Baxter, une pom-pom girl blonde et sexy, ils l'avaient enlev�e un soir apr�s le match et Marcus aid� d'autres joueurs l'avaient tenue tandis que Joey se faisait la petite salope blanche, comme elle luttait pour pr�server sa vertu, il lui avait d�pucel� le trou du cul.
Puis Marcus et les autres joueurs l'avaient partouz�e, ils avaient accept�s d'�pargner sa vertu � condition qu'elle s'occupe toujours de deux joueurs, un dans le trou du cul, l'autre en bouche.
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Puis �a avait �t� le tour de Julie Norris une jolie petite rousse qui �tait toujours avec l'�quipe f�minine. Un soir en rentrant chez elle, elle n'avait pas pu �chapper aux joueurs de l'�quipe B.
La troisi�me avait �t� le d�fi le plus audacieux, le plus os�, il s'agissait de la ravissante madame Benton, qu'ils avaient longuement viol�e sur son bureau de prof de maths le dernier jour de l'ann�e.
Au d�but de l'ann�e suivante, ils furent tous surpris, � part l'�quipe B d'apprendre que madame Benton n'enseignait plus � Porterville, elle avait d�m�nag�.
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S'il jouait bien sa carte, Marcus r�colterait un tr�s bon prix pour lui-m�me... Un tr�s beau prix en fait... Le cul de la ravissante m�re du premi�re ann�e.
Rab�chant son plan, sa pine battait lorsqu'il lorgnait la jolie madame Dening, d'apr�s ses estimations, elle devait avoir 37/38 ans, et devait mesurer 1,70 m � 1,75 m pour 55 � 60 kg, et avait de longs cheveux roux.
Elle �tait �tourdissante, et portait un diamant �tincelant et une alliance aux doigts... Cela en faisait un troph�e de prix pour Marcus.
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Ses estimations �taient proches de la r�alit�, madame Susan Denin avait 39 ans, cela faisait 20 ans qu'elle �tait mari�e � Dave, elle pesait 62 kg pour 1,76 m
Ayant abandonn� son travail de secr�taire personnel en venant � Porterville, ils avaient d�cid� qu'elle mettrait leur nouvelle maison en ordre et aiderait Paul � s'ins�rer dans sa nouvelle vie avant de rechercher un nouveau travail.
En fait, elle avait eu un premier entretien le jour m�me c'est pourquoi elle �tait si �l�gante.
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Susan aurait pr�f�r� inscrire Paul au lyc�e Saint Gabriel, mais il voulait fr�quenter le coll�ge public de Porterville dont l'�quipe de basket se trouvait en permanence dans le top 25. Comme Paul �tait la star de l'�quipe local d'o� il venait, il voulait s'am�liorer, et pour cela il devait jouer contre les meilleurs.
Paul ayant du quitter tous ses copains, ils jug�rent bon d'accepter sa requ�te afin d'apaiser ses regrets.
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Ayant grandi dans une communaut� prot�g�e, un de ses quartiers de banlieue r�serv�e � la classe moyenne ais�e Susan avait fr�mi en voyant le grand nombre de noirs qui d�ambulaient. Elle esp�rait que Paul accepterait un transfert au coll�ge Saint Gabriel. Bien qu'il soit bourr� de talent, Paul semblait si petit si rachdingue parmi ces athl�tiques noirs, qu'elle priait pour qu'il ne fut pas bless� lors d'un entra�nement.
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Marcus Green �tait l'incontestable vedette de l'�quipe, il s'occupait des quatre d�butants qui tout comme lui �taient noirs.
La feinte de Paul les avait bern�s, la suite de l'entra�nement permit � Paul de d�montrer ses qualit�s, il avait un jeu tr�s technique bas� sur la vivacit� et les feintes, il s'attira rapidement les applaudissements des parents de joueurs qui assistaient � ce premier entra�nement.
Cet entra�nement permit � Marcus d'�tudier ses qualit�s, lui donnant des conseils pour feinter la d�fense et la passer plus facilement en redoublant les passes.
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Au premier abord, les autres joueurs d'�quipes ne comprenaient pas ce que leur copain et capitaine faisait. Pourquoi Marcus perdait-il son temps avec ce petit merdeux de blanc se demandaient-ils tous.
L'entra�nement termin� ils regardaient Marcus traverser la salle de gym le bras sur l'�paule du gamin, commentant visiblement son entra�nement, puis ils virent le d�butant le pr�senter � sa ravissante m�re.
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Ils devin�rent les projets de Marcus lorsqu'ils virent la ravissante m�re du gamin.
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Paul avait pr�sent� l'opportuniste �tudiant comme le capitaine de l'�quipe fanion, Marcus avait d�cel� un frisson qui avait parcouru son corps lorsqu'elle lui avait serr�e la main. En tenant sa petite main manucur�e dans la sienne pendant quelques br�ves secondes, il sentit sa bite se cabrer dans son ample short il se repr�sentait d�j� cette douce main chaude lui �treindre fermement sa bite palpitante.
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Se comportant en parfait gentleman et en capitaine responsable de ses troupes, Marcus assura � la m�re de Paul que son fils deviendrait un bon joueur et qu'il avait de fait une tr�s bonne chance d'int�grer l'�quipe.
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L'insouciante beaut� remercia Marcus pour tout ce qu'il faisait pour Paul, ajoutant que c'�tait difficile de recommencer � z�ro dans une nouvelle ville, une nouvelle �cole, ce n'�tait pas facile de s'int�grer.
Marcus souhaita bonsoir � Paul et � la ravissante madame Deming, puis il partit rejoindre ses copains pour leur dire ce qu'il mijotait.
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Alors que ses copains le d�visageaient, il r�ajusta son short mettant en �vidence la grosse bosse qui en d�formait le devant.
Comme Paul et sa m�re avaient quitt� la salle de gym, ses copains affich�rent de larges visages et le h�l�rent, en r�ponse, Marcus lan�a la t�te en arri�re, ouvrit la bouche en grand en empoignant sa bite tout en feignant une grande douleur.
Arrachant des rires � ses potes qui comprenaient mieux pourquoi il s'occupait tant du nouvel arrivant blanc. Il se vanta alors :
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Les copains de Marcus se mirent alors � l'assommer de leurs commentaires
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Jimmy Johns, le gardien de la salle, s'esclaffa :
Jimmy fut aux anges lorsque Marcus souriant approuva :
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Toby Franklin intervint alors :
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Marcus leur dit alors :
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Ils d�cid�rent de travailler Paul pour apprendre ce qu'ils voulaient savoir sur ses parents, rassemblant les informations qui leur permettraient de se faire sa fastueuse m�re.
Ils savaient qu'ils devaient se presser, car il n'�tait pas �vident que Paul int�gra l'�quipe, principalement parce que l'entra�neur d�sirait prendre un �tudiant de premi�re ann�e ayant l'exp�rience du haut niveau.
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Et que si Marcus allait user de son influence aupr�s de lui, lui r�p�tant que le jeune Paul serait un avantage pour l'�quipe... Ils savaient qu'il faudrait le travailler plus longuement pour lui montrer qu'ils auraient besoin de lui dans la saison.
Brand, l'entra�neur jeta un oeil int�ress� sur le jeune joueur et tomba d'accord avec Marcus.
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Pendant ce temps, le questionnant sous le pr�texte de l'amener � mieux s'int�grer dans l'�quipe de l'�lite, Marcus lui soutirait habilement des bribes d'informations.
C'est ainsi qu'il d�couvrit que le p�re de Paul �tait plus souvent sur la route qu'� la maison pris par la d�couverte de son nouveau secteur.
En fait, Le p�re de Paul �tait couramment absent de la maison pour des voyages d’exploration durant deux semaines.
Marcus qui avait la t�te aussi bien mise que bien faite d�cida qu'il �tait temps de mettre ses plans � ex�cution.
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Il pr�vint Paul que l'ultime s�lection pour l'�quipe premi�re se profilait, et qu'il avait besoin de s'entra�ner dur s'il voulait r�ussir � int�grer cette �quipe.
Il parlait au jeune joueur pendant les entra�nements, Il apprit ainsi que Marcus s'entra�nait chez lui aux tirs et au dribble, il avait install� un panier de basket derri�re la maison.
Il lui sugg�ra d'inviter quelques joueurs chez lui samedi ainsi ils pourraient renforcer son jeu.
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L'aspect de ces quatre gaillards d�barquant de la voiture gar�e devant sa maison cr�a du mouvement dans le quartier.
Na�vement, l'adorable �pouse et m�re du jeune d�butant, se r�jouit de voir son fils se faire aussi rapidement des amis, et de plus que la vedette de l'�quipe l'ait pris sous son aile, les autres joueurs aussi semblaient prendre soin de le faire progresser.
Et le capitaine de l'�quipe semblait tout � fait amical lorsqu'il lui dit :
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En entendant madame Deming r�pondre avec ing�nuit� :
Il �tait s�r qu'ils �taient bien peu pour former une �quipe de basket, mais en r�alit�, le sigle d�signant l'�quipe de joueurs noirs signifiait : couilles noirs qui vont se vider sur ton visage, ta bouche, ton cul et ta chatte.
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Paul et les autres joueurs se tenaient dans l'all�e du garage et commen�aient un deux contre deux sous les yeux de Marcus qui dirigeait la manoeuvre.
Un court instant plus tard, Susan leur offrit de la limonade et apr�s une courte interruption, le jeu repris.
Prenant la balle, Marcus dit alors qu'il voulait voir Paul manier le ballon en courant, en d�montrant ce qu'il voulait qu'il fasse, il pr�tendit s'�tre bless� � l'aine.
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Ses complices savaient que c'�tait le signal, que la f�te commen�ait, ils jet�rent un coup d'oeil attentif sur Marcus qui demandait � madame Deming de lui procurer de la glace.
Saisissant son sac de sport, il boitilla derri�re l'adorable et ing�nue jeune beaut� qui se dirigeait vers la porte arri�re de la maison.
Elle fut fort surprise en constatant qu'il l'avait suivie et �tait entr� sur ses pas.
Feignant une intense douleur, Marcus se laissa tomber sur une chaise qui lui permettait de surveiller par la fen�tre ce qui se passait dans la cour.
L'insouciante et na�ve madame Deming tomba dans le panneau, elle cherchait � soulager la douleur de son aine alors que Marcus pr�tendait souffrir mille maux.
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Susan h�sita d'entr�e, apeur�e � l'id�e de toucher la peau miroitante couleur �b�ne du musculeux ado, puis elle se gourmanda, qu'y avait-il de mal � faire �a ? Visiblement il avait tr�s mal et avait besoin d'�tre soign�. Tout doucement elle tendit la main pour toucher la cuisse muscl�e, en r�ponse il soupira :
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Tremblant de nervosit�, elle regarda ce qu'elle faisait, la derni�re fois qu'il lui avait dit plus haut, elle avait remont� la main et le massait maintenant � quelques centim�tres... De l'�paisse bosse qui se formait dans son short.
Ses yeux �taient braqu�s sur l'imposante bosse qui d�formait clairement le fin tissu, ses doigts restaient dans la m�me zone continuant � masser la zone douloureuse.
Mais, horrifi�e, elle vit la bosse grossir encore elle pouvait maintenant voir palpiter sa... Bite.
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Le jeune homme jubilait, il comptait bien faire porter des cornes au mari parti pour affaires. Il se disait qu'elle n'avait jamais �t� si proche d'une bite aussi longue et �paisse que la sienne.
La gentille m�re et femme au foyer retira prestement sa main, essayant de d�samorcer la situation induite par son massage, remerciant Marcus de l'int�r�t qu'il portait � Paul.
Il se rendait compte de sa nervosit� croissante, elle tremblait en cherchant � reprendre haleine.
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Ne voulant pas se laisser distraire, Marcus d�cida d'agir, il lui prit le poignet et la for�a � poser � nouveau la main sur sa cuisse. Comme elle essayait de retirer sa main, il l'agrippa fermement et l'introduisit sa petite main manucur�e dans la jambe de son short
Ses doux doigts manucur�s entr�rent en contact avec son pieu de chair, il haletait de plaisir :
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Marcus vit la bouche de Susan s'ouvrir en grand lorsque ses doigts touch�rent sa bite, il sourit � la beaut� �nerv�e, lui disant :
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Bite band�e au maximum, les doigts de Susan gliss�rent sur l'�pais gland, remontant jusqu'au m�at. Elle sentit une goutte de substance poisser son pouce, du pr� sperme suintait de son m�at.
Son plaisir augmentait � chaque pression de son pouce sur son m�at, puis il lui fit frotter sa hampe du pouce sa bite prit encore de l'ampleur sous cette suave manipulation.
La ravissante m�re et m�nag�re fut submerg�e par la r�vulsion sous les suggestions impudiques et irrespectueuses de Marcus
Le vil �tudiant anticipa sa r�action, son expression choqu�e et r�vuls�e le faisait frissonner de joie.
Lui saisissant le poignet il ricana :
Jimmy vit son signal, il prit alors la balle et se dirigea droit sur Paul, le balan�ant au sol.
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De la fen�tre Marcus et la pauvre m�re effray�e virent les autres joueurs relever Paul engueulant Jimmy pour sa charge brutale, Toby allant jusqu'� rugir :
Et Paul, pench� en avant, mains sur les cuisses r�pliqua :
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Marcus avertit alors la femme confuse et apeur�e que son fils �tait sauf pour cette fois, et qu'il le resterait tant que Marcus le prot�gerait ajoutant :
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Reprenant son poignet, Marcus se retint de rire lorsqu'� nouveau la paume de sa main entra en contact avec son pieu.
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Et de fait son destin reposait bel et bien dans la paume de sa main ce qui faisait fr�mir une Susan incr�dule.
Sachant ce qui arriverait si d�go�t�e elle rejetait sa main, elle r�agit instinctivement, ses doigts manucur�s enserr�rent fermement sa colonne de chair.
L�vres l�g�rement entrouvertes, elle haletait, elle ne parvenait pas � quitter des yeux la bite qui vibrait dans son petit poing.
Hypnotis�e par le gland fr�missant, fascin�e par le m�at qui s'ouvrait et se fermait spasmodiquement Susan fr�mit lorsque Marcus se mit � geindre :
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Susan r�alisa soudain le dilemme qu'elle allait devoir affronter alors qu'elle branlait son pervers suborneur de plus en plus rapidement.
Le gland �b�ne brillait, il avait atteint son point d'extension maximum, Susan savait ce qui allait arriver et que le foutre gras allait bient�t s'�taler sur la moquette.
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Jetant un oeil d�sesp�r� autour d'elle, elle attrapa un verre qu'elle avait pos� plus t�t et le ramena sous le gland turgescent.
Elle guettait l'instant o� l'�pais serpent ayant atteint sa taille maximum allait se mettre � vibrer avant de cracher son venin.
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Il restait un fond de coca cola dans le verre, la m�choire de Susan tomba de surprise alors que jet apr�s jet il giclait dans le verre le remplissant quasiment � ras bord.
Son �jaculation termin�e, Susan s'accroupit en voyant gicler les derni�res gouttes, du foutre coulant sur son poignet, Susan tremblait en tenant le cocktail de coca au foutre au bout du bras.
Comme elle allait se relever et balancer le m�lange dans l'�vier, il l'attrapa par les cheveux et lui prit le verre de cocktail des mains.
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Puis, � sa grande horreur, l'ado pervers lui posa le verre sur les l�vres lui disant :
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Le verre �tait � 3 cm de ses l�vres, Susan levait les mains pour repousser le bras musculeux du pervers ado, lorsqu'il ironisa :
L�vres et dents serr�es, elle faisait non de la t�te tout en se d�tournant lorsque le verre vint � toucher ses l�vres, elle ne parvenait pas � croire que ce jeune pervers veuille lui faire faire un acte aussi r�vulsant.
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Elle avait beau essayer de le repousser, Marcus �tait physiquement bien trop fort pour qu'elle y parvienne
Un brusque tirage de ses cheveux fit bredouiller de douleur la jolie m�re et m�nag�re comme il la for�ait � effleurer des l�vres le verre qui sentait le foutre au coca.
T�te tir�e en arri�re, il se r�jouit de voir son expression horrifi�e, alors qu'il la for�ait � d�guster le savoureux cocktail.
Elle consomma le savoureux breuvage yeux ferm�s par la honte, des larmes coulant sur ses joues, le corps tremblant de r�vulsion.
La t�te tir�e de plus en plus, le visage parall�le au plafond, elle voulut repousser le verre alors que le fond plus �pais lui �tait vers� dans la bouche.
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La ravissante jeune femme agenouill�e sur la moquette se tenait l'estomac � pleine main, r�vuls�e par l'acte qu'elle avait du accomplir, Marcus gloussait en rangeant sa bite dans son short.
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Luttant pour se relever, Susan, se sentait naus�euse, elle se pr�cipita dans sa chambre.
Claquant la porte dans son dos, Susan tenait � deux mains son estomac qui se soulevait de d�go�t, elle se pr�cipita dans la salle de bain ou et se remit � genoux.
Mais cette fois elle �tait agenouill�e devant le si�ge des toilettes alors que son estomac la torturait de nouveau. Elle vomit son dernier repas et son dessert.
Toujours agenouill�e, sur le sol de la salle de bain, main press�e sur son estomac, Susan fut surprise par les coups frapp�s � la porte.
C'�tait Paul qui la pr�venait :
En arrivant � la sandwicherie, Marcus dit au jeune Paul :
Tout semblait normal au jeune �tudiant, ses clefs �taient dans la voiture et Marcus s'�loignait pour attendre son coup de fil.
Une fois dans le bar, Marcus lui donna un billet de 20 $, lui disant commande ce que tu veux... Pour moi ce sera un double cheeseburger avec des frites et une bi�re... Je reviens... Je dois aller dans l'�choppe � cot� faire faire un double de mes clefs...
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Dix minute plus tard, Marcus s'assit sur la chaise que lui avait r�serv�e ses copains et mangea son burger, Il avait fait dupliquer les clefs... Les clefs de la maison des Deming remarquant qu'il n'y avait que deux clefs principales !
Ayant entendu que Paul se rendrait � la biblioth�que principal apr�s souper pour terminer son devoir de sciences l’�quipe B pouvait donc faire une petite visite � madame Deming pour lui souhaiter la bienvenue dans la r�gion.
Ils allaient lui montrer tout ce qu'offrait Porterville... Et en particulier, toutes les grosses bites noires qu'elle pourrait manipuler.
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Une heure plus tard, les quatre jeunes pervers se glissaient discr�tement dans l'all�e du garage des Deming, faisant bien attention de ne pas alerter la belle madame Deming par leur retour
Ils avaient gar� leur voiture loin derri�re le lotissement, de fa�on � ne pas attirer l'attention des voisins et ils s'approchaient maintenant de la maison sans faire de bruit. Jetant un oeil pour s'assurer que le chemin �tait d�gag�, ils atteignirent la porte de la cuisine situ�e � l'arri�re de la maison.
Alors que tous ses copains �taient entr� sans faire aucun,bruit, Marcus ouvrit pr�cautionneusement la porte du r�frig�rateur.
Il y d�couvrit un pack de six bi�res bien fra�ches, la f�te de bienvenue pouvait donc commencer... Dans la maison de la nouvelle r�sidente de Porterville. Descendant lentement et silencieusement le vestibule, ils sourirent lorsque Jimmy pointa le doigt sur la porte de la chambre ferm�e.
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Tyrone suivait le comit� de bienvenue, il filmait ses copains descendant furtivement le vestibule se dirigeant vers leur proie.
La cam�ra focalisa sur Marcus qui tournait doucement le bouton de porte, puis il se retourna souriante vers la cam�ra, signalant que leur insouciante proie n'avait pas verrouill� sa porte.
La porte craqua en s'ouvrant, Marcus jeta un oeil par l'entreb�illement, Tyrone surveillait chaque geste de son capitaine et ami.
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Au travers de la fente de la porte entrouverte, Tyrone filmait l'adorable beaut� allong�e sur le grand lit grand g�ant qui g�missait en dormant.
Ouvrant un peu plus la porte, il zooma sur la jeune femme endormie, s'attardant sur les longues jambes sensuelles s'�vadant d'une chemise de nuit rouge.
Puis il recula pour capturer ses copains qui entraient calmement dans la chambre.
Il les suivit alors que Toby fermait silencieusement la porte prenant la pr�caution de la verrouiller.
Son expression �tait impayable lorsque des caresses de Marcus sur ses tendres cuisses la r�veill�rent.
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Toby avait gagn� le droit de d�pouiller l'adorable madame Deming de ses v�tements, et de garder sa petite culotte en souvenir. Le son du tissu qui se d�chire l'encourgeait lui et ses copains, mais affolait la malheureuse madame Deming qui pleurnichait :
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D'une main il saisit son soutien-gorge, d'une traction il l'arracha et l'exposa aux yeux de tous, d�nudant les superbes nichons aux ar�oles ros�es de la mignonne madame Deming.
Comme elle sanglotait, Toby se pencha pour capturer un de ses tendres t�tons dans la bouche, le m�chouillant tendrement.
Lorsqu'il le sentit darder, il s'empara du jumeau et lui fit subir le m�me traitement. Il empauma alors ses nibards et commen�a � les peloter lascivement alors que madame Deming soupirait sous ses caresses.
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Les jambes de la beaut� maintenant tenues par ses copains, Toby posa ses larges mains sur sa taille et agrippa la ceinture �lastique de sa petite culotte.
Lentement, tr�s lentement Toby roula alors sa culotte sur ses hanches exposant sa toison soyeuse.
On voyait appara�tre sa toison en entier � la grande jubilation de ses complices.
La chatte d�nud�e, Toby lui, �ta son cache sexe, et le porta � son visage pour en humer les flagrances intimes de sa propri�taire.
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Enti�rement nue, la ravissante jeune femme se d�battait en vain tout en sanglotant. Tyrone posa la cam�ra sur son tr�pied, pour �tre certain de mettre en boite tout ce qui allait se passer dans le lit conjugal.
C'�tait un vrai r�gal de la voir allong�e sur le dos bras maintenus au dessus de la t�te alors que Toby et Jimmy lui avait saisi les chevilles. Tyrone aimait la douceur de ses cuisses qu'il relevait.
Remplac� par un de ses �quipiers Jimmy se posta au pied du lit dans l'attente que Tyrone et Toby lui �carte les cuisses en V.
La langue sortie de la bouche il l'agita en tout sens, montrant � ses �quipiers ce qu'il comptait bien faire � l'adorable madame Deming.
Il jeta alors un oeil sur son visage horrifi� et vit que madame Deming n'avait aucune id�e de se qu'il allait faire subir � son tendre chaton.
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Cuisses grandes �cart�es Susan sanglotait de honte � l'id�e que son sexe �tait totalement expos� � la curiosit� de ces vils saloipards.
A sa grande surprise, le nomm� Jimmy se lovait entre ses cuisses, agitant sa langue tandis qu'il s'avan�ait entre ses cuisses ouvertes, incapable de refermer le jambes, Susan grima�a en sentant l'inf�me ado lui humer le sexe, puis elle sentit sa chaude respiration envahir sa petite chatte affol�e.
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Alors qu'elle se d�battait dans les puissantes poignes des autres agresseurs, elle ne pouvait emp�cher cette ignoble intrusion dans sa cramouille.
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Lui empaumant les fesses, Jimmy entreprit de lui bouffer lascivement le gazon.
Il se r�jouissait d'autant plus qu'il entendait madame Deming geindre :
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Les ados la tenaient d'autant plus fermement la jolie jeune femme, qu'elle se d�battait �nergiquement tout en sanglotant.
C'est alors que des tremblements convulsifs secou�rent ses bras et ses jambes, ils l’accabl�rent de sarcasmes alors qu'elle mugissait :
Il �tait �vident qu'elle jouissait sous la bouche de Jimmy qui lui dispensait d'enivrantes caresses.
La jeune femme sanglotante se tortillait lentement sur le lit, Jimmy se relevait d'entre ses cuisses, la d�marche tra�nante il rejoignit Marcus � la t�te du lit, et le rempla�a pour tenir les bras de la belle au dessus de sa t�te, ceci fait il regarda son capitaine se poster au pied du lit o� il se d�shabilla.
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Levant les yeux sur vil pervers, qui l'avait oblig�e � le branler plus t�t, elle le vit enlever sa chemise.
Puis il �ta son short de gym et son cale�on en m�me temps, les yeux de Susan s'�carquill�rent � la vue de son gros et grand p�nis.
Lorsqu'elle avait pass� la main dans son cale�on pour le masturber elle n'avait qu'un petit morceau de sa monstrueuse bite.
Mais maintenant, elle la voyait dans toute sa gloire, fascin�e elle sentait sa peur grandir.
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Susan savait que l'instant fatal �tait arriv�... Qu'elle allait bient�t devoir endurer cette bite monstrueuse... Elle le sentait d�j� frotter son instrument le long de sa fente juteuse... Il allait la violer... La plus grosse bite qui l'ait jamais p�n�tr�e...
Marcus posa ses mains sur ses genoux et lui caressa tendrement les cuisses, elle sut que la suite �tait proche, elle pleurnicha � nouveau :
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Se d�battant � nouveau, elle sentit des mains lui agripper fermement bras et jambes, elle se mit � frissonner et � trembler lorsque Marcus gloussa :
Alors que le matelas s'enfon�ait sous le poids de Marcus qui l'enfourchait elle supplia de plus belle :
Ayant senti plus t�t sa taille, et voyant maintenant l'�norme verge d�ploy�e, elle constatait que la bite de cet adolescent s'av�rait bien plus longue et plus grosse que celle de son mari ! En comparaison celle de son mari ressemblait � un jouet...
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C'�tait du pur plaisir pour Marcus de l'entendre geindre alors qu'il sentait l'�treinte ferme de ses muscles vaginaux sur son �paisse queue :
Agrippant fermement ses fesses il se retira de quelques centim�tres et s'enfouit � nouveau, avec la m�me violence dans le ventre de la pauvre madame Deming. qui g�missait de plus belle :
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C'�tait si p�nible, si humiliant d'�tre viol�e dans le lit qu'elle partageait avec son mari, de sentir les grosses couilles gorg�es de foutre de cet ado noir claquer dans sa vall�e culi�re.
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Il coulissait de 15 bons cm dans son fourreau martyris�, alors m�me que son �pais gland restait toujours enfoui entre ses babines charnues.
Les dents serr�es fortement, des vagues de plaisir ind�sirables couraient tout le long de son corps partant toutes de l'axe sexuel qui la perforait allant et venant � une vitesse grandissante
Il la martelait de plus en plus vite, alors qu'elle luttait toujours pour se lib�rer bras et jambes de leur emprise... Seulement maintenant c'�tait pour verrouiller ses chevilles dans son dos et ses poignets derri�re sa nuque.
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Cherchant � masquer ses g�missements, elle priait pour que cela se termine rapidement d�sesp�rant de ne pouvoir cacher plus longtemps son �moi grandissant... Son esprit lui r�p�tait :
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Mais Marcus en expert qu'il �tait savait que la ravissante et sensuelle jeune femme n'allait plus tarder � sombrer dans un sauvage orgasme.
Tout en continuant � coulisser dans sa chatte � vitesse �lev�e, Marcus se r�jouissait de bient�t la remplir de foutre chaud.
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Et bient�t le corps de Shannon la trahit, cela commen�a par des spasmes incontr�lables, puis son corps se t�tanisa tandis qu'elle succombait � un orgasme d�lirant
Un orgasme d'une intensit� folle, telle quelle n'en avait jamais connu, et comme assomm�e par un intense flash elle cria de nouveau.
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La ravissante jeune femme explosait sous l'extase que lui procurait les jaillissements chauds de Marcus au fin fond de son ut�rus.
De toutes ses exp�riences c'�tait le meilleur coup tir� par Marcus, son �troite chatte l'�treignait d'une main de fer trayant jet apr�s jet ses derni�res ressources spermatiques
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Abasourdie par cet orgasme d�mentiel, Susan n'avait pas retrouv� ses esprits lorsqu'il glissa hors de sa fente engorg�e. Une fois lib�r�, son corps trembla de d�pit, un flot de foutre poisseux s'�coulait de sa chatoune.
Totalement et d�finitivement vaincue, elle se sentait honteuse et d�prav�e, Susan sentait qu'on ne pouvait l'humilier plus que cela, elle sentit alors qu'on la disposait � quatre pattes sur son matelas, Tyrone se postait dans son dos.
Mais Susan avait tort, les mains de Tyrone lui caressaient lubriquement les fesses.
Ses mains caressaient toujours ses rotondit�s fessi�res, c'est alors qu'elle entendit le jeune noir glousser :
Alors que Tyrone lui saisissait les hanches fermement reportant toute ses forces dans la pression qu'il exer�ait sur son oeillet palpitant de peur, elle comprit :
La souffrance la torturait, il lui semblait que la grosse bite lui d�chirait son petit anus sans aucune piti� � son �gard. Elle souffrait de plus en plus alors qu'il la labourait de plus belle... Encore et encore jusqu'au moment o� elle sentit ses grosses couilles noires claquer contre ses douces fesses.
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Puis elle le sentit amplifier la profondeur des ses p�n�trations et leur rythme, sa gosse bite coulissant toujours dans son cul meurtri... Jusqu'au moment ou il explosa dans son intestin... Lui d�livrant un bon lavement de foutre bien chaud.
Lorsqu'il retira finalement sa bite, elle sentit un flot de foutre s'�couler de son anus b�ant sur sa chatoune et la face interne de ses cuisses.
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Peu apr�s s'�tre s'�croul�e face en avant sur le matelas, Susan sentit qu'on la roulait sur le flanc, bient�t elle se retrouva � genoux.
Elle se demandait ce qu'ils attendaient d'elle maintenant... Quel acte d�gradant et honteux voulaient-ils encore lui imposer...
Ses craintes s'av�r�rent justifi�es alors qu'une fois de plus le matelas se creusait sous le poids du centre avant qui l'escaladait.
Lui agrippant les cheveux, il lui tira la t�te en arri�re, elle fixait maintenant une bite aussi grosse et longue que celle de Marcus.
Il dit alors :
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Mais tout d'abord Susan dut subir une nouvelle humiliation, lorsque Toby empoigna sa bite turgescente et la tira en arri�re alors qu'il se postait dans son dos.
La t�te bien tenue, Susan fr�mit lorsque l'odeur inf�me de son entrejambe lui frappa les narines alors qu'il pressait se couilles contre son visage.
L�vres serr�es, elle frissonna � nouveau lorsque son scrotum vint frotter contre son menton et se l�vres.
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Forc�e d'ob�ir, Susan fr�mit en ouvrant ses l�vres de roses et en tendant la langue sur la peau de ses bourses fl�tries.
Sur le point de pleurer elle sentait ce salaud de Toby lui enfouir ses couilles dans la bouche.
Toujours forc�e de lui complaire, Susan fr�mit de honte, un testicule en bouche qu'elle su�ait avec application. L'id�e de lui planter ses dents dans les couilles la traversa :
Mais elle avait trop peur des repr�sailles, que lui ferait-il ensuite si elle osait ?
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Quelques minutes plus tard, apr�s avoir satisfait les envies de Toby de se faire sucer les couilles, elle dut ouvrir la bouche en grand pour absorber la grosse bite turgescente.
La bouche pleine de son �norme mentule, elle craignait pour sa vie en le sentant se ruer dans son arri�re gorge. Avec ses deux mains pos�es sur sa nuque, elle fut oblig�e de d�glutir afin d'engloutir le gland turgescent dans sa gorge.
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Comme elle levait les yeux sur le jeune salaud qui gloussait se tenant debout au dessus d'elle agenouill�e, il commenta :
S'asphyxiant lentement Susan tentait de toutes ses forces de le repousser pour pouvoir respirer � nouveau.
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Pour lui permettre de respirer, Toby se retira de sa gorge, elle se mit alors � haleter lourdement, se remplissant les poumons d'air, une fois qu'elle eut suffisamment r�cup�r�, il agrippa de nouveau sa chevelure et enfouit � nouveau ses 21 cm dans son arri�re gorge.
De p�n�tration en retrait il la regardait rouler des yeux dans les orbites, lorsqu'il voyait le blanc de ses yeux, il se retirait pour la laisser reprendre haleine.
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T�te maintenue en ligne, l'�paisse bite coulissant dans son arri�re gorge � l'�touffer, Susan le fixait mis�rablement demandant silencieusement mis�ricorde
Soudain la bite turgescente prit encore de l'ampleur, puis il, se d�versa dans son arri�re gorge, lui remplissant le tube digestif puis il la repoussa rudement dos sur le lit.
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Agrippant, � deux mains, son estomac pr�t � se r�volter Susan s'�broua et rampa vers la corbeille, �tendant la main, elle l'empoigna, la posa sur le lit et se pencha et vomit � trois reprises le foutre qui lui empoisonnait l'estomac.
Par chance, elle avait laiss� une carafe d'eau � demi pleine sur sa table de nuit, elle put ainsi se rincer la bouche avant de retomber sur le lit.
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Au contact de mains caressant ses chevilles, d'une chair dure frottant contre la plante de ses pieds, Susan ouvrit les yeux et vit le salaud qui lui, avait bouff� le gazon cherchant � r�duire la pression dans ses bourses.
Elle r�alisa alors qu'il devait �tre f�tichiste des pieds de femme, tout autant que f�tichiste du bouffage de minettes.
Se rappelant comment Marcus avait transform� sa toison pubienne en cloaque mar�cageux, elle sut que Jimmy Johns ne poserait pas son visage sur cet endroit embourb�.
Ses deux poignets �taient maintenant tenus et repouss� de chaque cot� du lit, les doigts de sa main gauche se referm�rent sur la bite fr�missante de Toby alors qu'elle sa main droite serrait celle de Tyrone.
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Le f�tichisme des pieds de Jimmy Johns n'avait d'�gal que sa manie de bouffer des chattes et en ce jour il avait pu satisfaire ses deux penchants avec une jeune femme blanche de surcro�t.
Jimmy � la vue de ses copains se tapant Susan de diff�rentes fa�ons, �tait pr�t � cracher son foutre.
Il frotta � nouveau son bourgeon turgescent contre la plante de ses pieds, puis sur ses orteils manucur�s, il serrait les dents pour faire durer son plaisir le plus longtemps possible.
Mais sentant ses orteils se refermer sur sa hampe, il souffla :
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Une demi-heure plus tard, s'�tant �vanouie, elle fut r�veill�e en se sentant agripp�e et manipul�e par les ados.
Marcus la relevait, Tyrone et Jimmy lui repliait les jambes sous elle, elle vit alors le g�ant, Toby s'allonger sur le dos, branlant machinalement sa bite dress�e.
Ses yeux s'�carquill�rent de frayeur alors qu'ils la transportaient sur le lit, lui �cartant les jambes pour la positionner juste au dessus de l'ob�lisque dress�.
Ca tournait maintenant au gang bang, avec Toby enfoui dans sa chatte, Marcus se postait � son cul, Tyrone frottait son gland contre ses l�vres, et Jimmy enroulait ses m�ches noires autour de sa bite dress�e.
Vingt minutes plus tard, Susan roula sur le cot� du lit, sanglotant lourdement alors que les trois bites se retiraient de ses orifices engorg�s.
Bouche, con et cul �taient pleins de foutre chaud, alors que Jimmy venait de lui shampouiner la chevelure avec sa cr�me �paisse.
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Une autre demi-heure plus tard, ses violeurs partis, Susan sortit en rampant du lit et se gagna la stalle de douche.
Elle se fit couler une douche br�lante, elle s'�tait assise jambes ouvertes sur le carrelage de la stalle de douche, nettoyant son corps de toutes ces souillures.
Et maintenant elle curait de tous ses doigts sa fente b�ante ruin�e par les bites monstrueuses de Toby et de Marcus, dont continuait � s'�couler un torrent de foutre cr�meux.
Le foutre blanch�tre s'�tirait poisseux sur le sol de la douche avant de dispara�tre dans le siphon.
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Susan sanglotait, elle se sentait honteuse, humili�e, d�grad�e, elle se demandait quoi faire maintenant.
Elle r�alisa alors pourquoi tant de viols n'�taient pas rapport�s, en comprenant ce qui arrivait immanquablement dans ces circonstances.
Elle ne parviendrait jamais � en rapporter les d�tails les plus sordides... Que ce soit � la police o� quelqu'un d'autre d'ailleurs...
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R�sign�e � garder son noir secret pour elle, Susan regardait les flots de sperme qui continuaient � s'�vacuer par le siphon.
A peine capable de bouger les jambes, il n'�tait pas question de se d�placer sur une longue distance, comme de se rendre dans l'�picerie du coin se procurer le n�cessaire � une douche vaginale.
Comme son mari �tait absent, c'�tait inscrit sur sa liste de fournitures du lendemain, lorsqu'elle se rendrait � l'�picerie vendant m�dicaments et provisions, mais demain, �videmment il risquait d'�tre trop tard.
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Ca arrivait au plus mauvais moment, Susan cligna des paupi�res sachant que ce serait un miracle si elle ne sortait pas engross�e de ce viol.
A la vue du flot de foutre s'�tant �coul� dans le siphon, elle r�alisait que quel volume de foutre elle devait avoir en elle. Baissant les yeux, elle vit que son �troite petite chatte s'�tant transform� en un �norme trou b�ant.
Ins�rant deux doigts dans sa chagatte, elle les en ressortit enduit d'un �pais foutre gluant elle s'empressa de se rincer les doigts.
Les larmes ruissel�rent sur ses joues alors qu'elle tentait d'extraire le maximum de foutre de sa chatte engorg�e.
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Le con cur� de son mieux, Susan s'appuya en arri�re contre la paroi de la douche, l'eau br�lante continuait � nettoyer son corps ravag�.
Elle se rappelait maintenant ce que Marcus lui avait dit � l'issue de son horrible �preuve :
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28 mars 2008
Coulybaca
Avec l'aimable autorisation de l'auteur :
Black Demon
blackdemonstories@yahoo.com
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