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Review This Story || Author: Coulybaca

Terreur � T�n�rife

Chapter 5


Terreur � T�n�rife Ch 5


Coulybaca / Vulgus





    Chapitre 5 : Jenny forc�e de se prostituer dans les deux clubs, la fin du calvaire.




   Apr�s d�ner, je suis all� � l'ordinateur pour y chercher l'endroit o� se trouvait le club o� nous devions nous rendre le soir m�me.


Je pr�parais un sac avec la cam�ra des batteries et des DVD de rechange.


Je ne savais pas ce qui allait se passer ce soir, mais je voulais �tre pr�t.


Euh non ce n'est pas exact, j'aurai pr�f�r� et de loin que l'on reste� chez nous, mais j'avais peur qu'�tre insuffisamment pr�par� puisse passer pour une faute aux yeux de monsieur Eng.



  Au moment de partir, Jenny enfila son minuscule fourreau transparent et nous sommes partis rejoindre notre voiture.


Il n'�tait que 18 heures 15 et les rues �taient pleines de monde.


A la vue de Jenny quasiment nue, ils s'immobilisaient pour mieux la reluquer.


Elle feignait de l'ignorer, mais chaque homme qu'elle croisait et la plupart des femmes bien entendus se figeaient bouches b�es sur son passage.



  Nous nous sommes press�s de rejoindre la voiture et je d�marrais aussi rapidement que je le pus.


Je tendis � Jenny le plan de la ville et elle me guida.


Nous sommes arriv�s � bon port en avance de 10 minutes.


Le grand parking �tait plein, je me dis alors que cette boite devait �tre renomm�e.



  Le club avait une �trange apparence, si c'�tait bien un club.


Il s'agissait d'un vieil entrep�t et le seul signe indiquant son activit� �tait une enseigne n�on au-dessus de la porte indiquant que les lieux �taient ouverts.


Rien n'indiquait ce qui se trouvait derri�re la porte.


Mais d�s que nous sommes sortis de la voiture, on entendit une lourde musique, j'offrais mon bras � Jenny et nous avons march� au supplice.



  J'ouvrais la porte, deux colosses noirs qui se tenaient dans le hall nous sourire de toutes leurs dents, je me disais que si c'�tait l� tout ce qui devait arriver, nous devrions passer une bonne nuit � danser.



  Nous nous sommes retrouv�s dans une salle immense avec plusieurs sc�nes entourant la piste principale, sur chacune de ces estrades se d�menaient de ravissantes jeunes femmes blanches qui dansaient de fa�on fort impudique.


L'assistance �tait constitu�e d'hommes, tous noirs


Nous sommes entr�s et je jetais un coup d��il circulaire et finalement remarquais un endroit qui ressemblait � un bureau au fond du b�timent.



  Nous avons entrepris de traverser la foule pour gagner ce bureau, tout le long de cette travers�es Jenny fut agripp�e et pelot�e � outrance.


Elle feignit d'ignorer ces peloteurs, tout au moins autant que possible.


Tandis que nous nous dirigions vers notre but je jetais un oeil sur les sc�nes ou je suis bien certain qu'�voluerait bient�t Jenny pour distraire les consommateurs..


Elles �taient tr�s petites et rehauss�es d'environ un m�tre, les filles �taient largement � port�es des mains des hommes qui de temps � autre exploraient sans vergogne leurs charmes les plus intimes.


Toutes les filles dansaient un sourire de commande plaqu� sur le visage, alors qu'elles subissaient toutes sortes d'avanies.


Il �tait �vident que chacune d'elle �tait ici contre sa volont�.



  Finalement nous sommes arriv�s au bureau, je toquais puis entrouvris� la porte, un noir nous fit signe d'entrer


Je sortais la cam�ra d�s que nous f�mes entr�s me tenant pr�t � filmer si quelque chose se passait.


Je trouvais plus sage d'�tre pr�t � toute �ventualit�.



  Le bruit assourdissant se mua en fond sonore lorsque la porte se referma sur nous, au moins nous pouvions maintenant converser.


Ils �taient trois dans le petit bureau, ils �tudi�rent Jenny pendant un long moment, puis l'un d'eux lui demanda :


-         "Sais-tu ce que tu dois faire ce soir? ...."



  Jenny les regardait terrifi�e, elle secoua la t�te et r�pondit platement :


-         "Non, monsieur... "



  L'homme qui nous avait fait signe d'entrer s'approcha d'elle, je commen�ais � filmer alors que sa main courait sur son corps.


Elle fr�mit mais ne bougea pas.


Elle continuait � regarder l'homme qui pench� sur son bureau l�observait attentivement en poursuivant :


-         "Une fois par heure tu devras monter sur une des petites sc�nes et danser sur trois airs jou�s par l'orchestre, ce n'est pas une forme de strip-tease, tu seras nue d�s le d�part...... D'ailleurs donne-moi ton fourreau..... Tu ne porteras aucun v�tement avant de partir au petit matin! ...."



  Jenny d�fit l'unique bouton qui fermait son fourreau, l'enleva prestement et le lui tendit servilement.


Il l'�tendit sur son bureau et regarda un de ses amis trituraient les nichons de Jenny alors que je filmais docilement la sc�ne.


Ils m'ignoraient tous totalement.



  -         "Lorsque tu danseras..." ajouta-t-il "tous les spectateurs pourront venir palper tes app�ts � leur guise...� Tu ne devras jamais refuser une caresse... Est -ce clair? ....."



  Jenny acquies�a d'un signe de t�te et l'homme poursuivit la� description de ce qu'elle devait faire..


-         "Quand tu n'es pas sur la sc�ne tu travailles en salle, tu sers les consommations et tu prom�nes tes app�ts parmi la client�le.....� Les consommateurs peuvent te baiser � tout moment! ....."


-         " S'ils veulent te sauter, ils ont juste � t'empoigner par le bras et � t'emmener dans une des petites chambres au fond de la salle.....� Bien sur ce n'est pas gratuit! ....."


-         "Mark s'assi�ra sur un banc face � la porte de ta stalle ton client devra le payer avant de p�n�trer avec toi dans le box! .....� Puis il vous suivra et filmera la sc�ne le temps que tu te fasses sauter"


-         "Une fois que tu auras satisfait les app�tits lubriques de ton client tu te nettoieras et tu reprendras ton r�le de serveuse jusqu'� ton prochain show; ou qu'un autre amateur d�cide de te fourrer! ...."


-         "Cela me semble simple... Non? ...."



  Jenny hocha la t�te mais je vis une larme rouler sur sa joue, l'homme lui sourit et ajouta :


-         "C'est encore mieux si tu d�testes ce que tu dois faire... Les clients adorent baiser des femmes contre leur volont�! ....� Mais tu devras pourtant afficher un sourire forc� quant tu seras en main, ce sera ton seul uniforme! ...."



  Il y eut du brouhaha � l'ext�rieur et l'homme qui venait de dicter ses consignes � Jenny poursuivit :


-         "Tu vas pouvoir assister � la punition d'une fille qui vient de refuser une cajolerie � un client! ..."



  Il la poussa vers une grande baie vitr�e qui donnait sur la salle et se pla�a dans son dos.


Il descendit sa braguette et sortit une grosse et longue bite noire de son cale�on qu'il frotta dans l'entrecuisses de Jenny, puis il la courba en avant et la fourra rudement.



  Elle grogna de douleur sous la violente p�n�tration, il s'immobilisa alors et ils regard�rent de concert la femme en question qui �tait tra�n�e, une laisse autour du cou, jusqu�� la sc�ne centrale.


Le g�rant commen�a � baiser lentement Jenny alors que la malheureuse rebelle tombait � genoux, la laisse fut li�e � un anneau au sol.


L'homme qui l'avait amen�e lui dit quelques mots � l'oreille et je la vis hocher la t�te, mais je voyais aussi un air l'expression terrifi�e qu'affichait son visage lorsqu'il se recula.



  La foule manifesta bruyamment � la vue d'une autre jeune femme enti�rement nue qui s'approchait de la sc�ne, lorsqu'elle grima sur la sc�ne je vis qu'elle amenait un gros chien.


Je vis Jenny haleter horrifi�e alors que l'homme qui la fourrait lui dit :


-         "Regarde bien, tu dois bien comprendre que tu es l� pour te faire baiser, et que toute d�sob�issance aux r�gles est s�v�rement punie! ...."



  J'ai cru que j'allais vomir quand j'ai vu la femme installer le chien dans le dos de la punie puis lui enlever sa laisse.


Je suppose qu'il avait d�j� particip�, � la punition d'autres femmes dans le pass� car il n'eut aucune h�sitation.


Il enfourcha la malheureuse agenouill�e sur la sc�ne, elle regardait les spectateurs un pauvre sourire r�sign� aux l�vres alors que de grosses larmes ruisselaient sur ses joues, le chien commen�a par humer son entrecuisses puis entreprit de le l�cher avec enthousiasme.



  Le chien commen�ait � �tre s�rieusement excit�, quelques minutes plus tard, il grimpa sur le dos de la femme et chercha � t�tons � la fourrer en donnant de grands coups de ventre vers l'avant.



  La foule l'encouragea sadiquement lorsqu'elle tendit la main en arri�re et guida son organe incroyablement long dans sa cramouille.


Son visage se tordait de� douleur alors qu'il la bourrait, mais imm�diatement elle r�afficha ce sourire fig� alors qu'il la martelait fr�n�tiquement de violents coups de boutoir sous les applaudissements de la foule des spectateurs.



  J'apercevais un blanc au bord de la sc�ne qui semblait tr�s angoiss� alors qu'il pointait sa cam�ra sur ce show punitif, c'�tait s�rement sa femme qui se faisait grimper par un chien !



  Je ne pus regarder plus longtemps, je me focalisais sur Jenny qui se faisait sauter par le g�rant de l'�tablissement.


Il �tait ravi du spectacle et se mit � acc�l�rer le rythme de ses p�n�trations et jouit juste au moment o� je reportais mon attention sur Jenny.



  Il se retira de sa moule et une fois qu'elle eut nettoy� minutieusement sa bite, un autre sbire s'installa entre ses cuisses.


Les trois hommes dans le bureau eurent tout le temps de la baiser avant que le chien en eut fini avec la femme sur la sc�ne.



  Une fois le chien emmen�, elle demeura agenouill�e sur la sc�ne, des hommes s'approch�rent d'elles, et bien que je ne puisse les entendre, je compris qu'ils lui annon�aient des choses terribles alors qu'elle se tenait toujours agenouill�e les joues sillonn�es de grosses larmes.


L'un des hommes lui malmenait les nibards mais ils laissaient tous libre acc�s � ses fesses.



  Lorsque les trois hommes dans le bureau en eurent termin�s avec Jenny l'homme qui nous avait fait entrer lui d�signa la petite stalle o� elle op�rerait.


C'�tait une toute petite pi�ce, meubl�e d'un lit d'enfant et d'un �vier pour se nettoyer la chatte apr�s utilisation.


A l'entr�e de la stalle se trouvait un petit banc de traite des vaches qui visiblement avait �t� choisi pour humilier les maris� assis sur ces bancs qui attendaient de faire payer les clients qui voulaient tirer un coup avec leurs femmes.


Lorsque j'�tais assis sur ce banc, ma t�te se trouvait � hauteur de leur taille.


Puis l'homme me d�signa le bar�me accroch� au mur � cot� de la porte et la petite horloge pos�e sur une table de chevet � la t�te du lit.


Le premier show de Jenny �tait programm� � 8 heures, dans � peine 20 minutes.



  Tous les shows �taient num�rot�s sur un planning d�signant la petite sc�ne sur laquelle elle danserait.



  Je remarquais que ce programme se terminait � 2 heures du matin, elle devrait donc danser � sept reprises pendant 9 � 10 minutes � chaque show.


C'�tait certainement l�, probablement la partie la plus agr�able de sa soir�e.



  Notre escorte me fit asseoir sur le tabouret et accompagna Jenny dans le club la main pos�e sur sa croupe pour s'assurer de sa docilit�.


Je la vis dispara�tre dans un oc�an de consommateurs noirs qui la pelotaient avidement a sur son passage.


Mais elle ne fut pas partie bien longtemps !



  Je doute qu'elle ait eu le temps d'atteindre le bar avant qu'un gros homme ne revienne avec elle la tirant un doigt enfonc� dans sa foufounette.


Ils stopp�rent � l'entr�e de son box et le client me tendit un coupon, il semble que les affaires ne se traitaient pas en bon argent sonnant et tr�buchant.


Les� coupons ne comportaient de valeur et n'indiquaient pas plus le service requis de la part de la prostitu�e, ils comportaient seulement le temps imparti au consommateur.


Celui qu'il me tendait �tait valable pour 15 minutes,


Jenny disposait juste de ce temps avant de devoir se produire sur sc�ne.



  Je me levais et suivais le couple qui entrait dans le box et j'entrepris de filmer alors que le gros homme s'�tendait sur le lit ordonnant � Jenny de l'enfourcher pour qu'il puisse la regarder le baiser.


Sa flamberge �tait d�j� dure comme du bois !



  Jenny qui plaquait un sourire fig� sur son visage, se pencha et lui su�a la bite quelques instants avant de l'enfourcher et de s'empaler sur son braquemart tendu.


Elle entama une danse de saint gui montant et descendant�� sur son ventre alors qu'il semblait fascin� par ses t�tons qui se balan�aient au gr� de ses empalements.


Il les regarda se balancer jusqu'� l'instant ou il jouit, puis il empoigna ses nichons et je vis qu'il serrait si fort la chair de ses nibards qu'elle cria de douleur, ce ne l'emp�chait pas de continuer � le chevaucher consciencieusement.



  Elle glissa vers le bas alors que le vieillard se relaxait� sous elle et s�immobilisa finalement.


Elle jeta un oeil sur l'horloge, et il lui restait encore trois minutes.


Aussi leva-t-elle pour le prendre en bouche afin de nettoyer sa bite amollie..


Elle le l�cha proprement et puis le su�a le temps qu'il lui restait.


Puis elle l'aida � se relever et lui sourit, elle se rua sur l'�vier pour se nettoyer rapidement la chatte d�s qu'il fut sorti pour aller ensuite danser sur sc�ne.



  Elle se rua � l'ext�rieur apr�s avoir s�ch� sa chatoune et monta sur sc�ne � l'instant ou la musique d�marrait.


Je me tenais debout de l'autre cot� du hall o� je m'�tais assis, de l� je pouvais la voir �voluer sur son estrade.


Elle commen�a � danser au rythme de la musique, balan�ant ses nibards et chaloupant de la croupe, les mains des spectateurs ne cessaient d'inventorier ses app�ts !


Ils lui pelotaient fermement les fesses, promenaient leurs doigts dans sa foufoune, lui doigtait le trou du cul alors qu'elle tentait de maintenir un semblant de rythme � sa danse.



  Tandis que Jenny dansait se faisant copieusement peloter, il y eut un d�fil� de jeunes femmes blanches qui gagnaient leur box accompagn�e de leurs blancs maris et de leurs noirs clients, chaque mari ou petit ami se tenait assis sur le banc � traire les vaches situ� devant la porte de la stalle.


Et alors que l'orchestre jouait constamment dans la salle principale je pouvais entendre les r�les des femmes qui se faisaient sauvagement sauter dans leurs box.



  Je braquais � plusieurs reprises mes yeux dans le hall et remarquais que les nombreux petit-amis et maris �vitaient de se regarder ou de parler ensemble.


Ils semblaient tous accabl�s de honte, exactement comme moi d'ailleurs.



  Lorsque les trois airs se termin�rent, Jenny descendit de sc�ne jambes tremblantes et je me rassis sur le tabouret attendant son retour.


A peine 5 minutes plus tard elle �tait dans sa stalle en compagnie de deux clients.


Ils me tendirent tous deux un coupon qui leur accordait 30 minutes e jouissance, et je me remis � filmer, il ignor�rent le lit d'enfant et le prirent � m�me le sol face � moi.



  Ces deux hommes �taient bien plus jeunes que leur pr�d�cesseur, � peu pr�s de notre �ge.


Ils se parlaient constamment dans leur langage africain, il �tait �vident qu'ils se moquaient de nous, prenant grand plaisir � nous humilier.


Ils savaient pertinemment que pas une de ces femmes n'�tait l� de son propre gr�.



  Ils pouss�rent Jenny sur une mince couverture et la prirent par-devant et par derri�re pendant l'enti�re demi-heuree qu'ils l'avaient lou�e.


Ils jouirent tous deux � plusieurs reprises dans sa bouche et dans sa chagatte,� et une fois dans son trou du cul apr�s l'avoir sodomis�e pendant quelques longues minutes.



  Jenny faisait tout ce qu'ils voulaient sans se plaindre, elle criait quand ils lui faisaient mal puis� replaquait imm�diatement un sourire fig� sur son visage, elle �tait tr�s angoiss�e par les cons�quences si elle les d�cevait.



Le temps qu�elle se nettoie lorsqu'elle en eut termin� avec eux il �tait d�j� temps de retourner faire son show.


Elle se posta quelques secondes face � moi se pencha et m'embrassa sur le front, puis elle haussa les �paules et sortit de la petite stalle.



  Malheureusement Jenny �tait une nouvelle tr�s populaire, je me demande si elle avait servi une seule boisson de toute la nuit.


La plupart du temps, quand elle ne dansait pas elle se trouvait dans son box � baiser et sucer des clients de tous �ges qui la prenaient, avec leurs bites de toutes tailles, dans toutes les positions connues !



  Cela ne se termina que sur le coup de 2 heures du matin.


Son dernier show termin� elle �tait revenue accompagn�e de deux consommateurs qui la bais�rent illico dans sa stalle, lorsqu'elle en eut termin� avec ces deux clients, deux autres attendaient leur tour dans le hall.


Ils jouirent tous deux d'elles copieusement chacun leur tour.


C'en �tait fini de la soir�e au club, je comptais tous les tickets avant de les ramener au bureau.


Il y avait 19 coupons, 19 hommes avaient poss�d� son corps cette nuit, il m'avait sembl� qu'ils �taient plus nombreux !



  Je rendais les coupons au g�rant, il me rendit la tunique de Jenny et nous sommes repartis chez nous.


Il �tait bien 4 heures du matin lorsque nous nous sommes couch�s.



  Nous avons dormi jusqu'� 11 heures, nous aurions pu continuer � dormir mais des bruits provenant du salon nous r�veill�rent, je me levais � peine que d�j� Harold et ses deux copains envahissaient dans notre chambre.



  Lorsqu'il vit que nous �tions r�veill�s, il nous demanda :


-         Jenny, Mark, vous ai-je manqu� ?


-         ........


-         Nous sommes en ville pour une paire de jours, on passe juste vous dire bonjour !



  C'�tait le trou du cul qui nous avait plong� dans cette gal�re.


Je savais d�j� ce qu'ils attendaient de moi, je sautais hors du lit et me ruais dans le salon pour empoigner la cam�ra vid�o.


Lorsque je fus de retour dans la chambre, Harold se d�shabillait et Jenny se levait le suppliant de la laisser prendre une douche.


Il hocha la t�te affirmativement et elle se pr�cipita dans la salle de bain, quelques secondes plus tard on entendit alors l'eau de la douche ruisseler puis les bruits cess�rent et Jenny nous rejoignit, notre chambre me paraissait bien plus petite qu'auparavant avec ces trois colosses noirs se tenant dans l'entr�e.



  Jenny se posta face � Harold qui posa son bras sur ses �paules, sa grosse bite battait contre son estomac il lui dit :


-         On m'a dit que tu �tais tr�s pris�e au club ! ... J'esp�re que tes clients ne t'ont pas distendu outre-mesure la chagatte !... Ton con est si avenant, si juteux ! ... Ce serait une honte de l'ab�mer !


Sur ces mots il la poussa � s'agenouiller et elle entreprit de lui tailler une pipe sans m�me qu'il le lui ordonne.



  Bien sur, je les filmais en pleine action, ils la bais�rent pendant plusieurs heures dans toute la maison.


Ils ne la laiss�rent tranquilles qu'une fois qu'elle les eut tous suc�s et qu'ils l'eurent tous bais�s.


Elle �tait percluse de douleurs suite � la nuit pr�c�dente et on peut dire qu'ils utilis�rent vraiment les restes, mais comme ils s'en foutaient totalement !



  D�s qu'ils furent partis, j'aidais Jenny � gagner la salle de bain et je lui fis prendre une douche br�lante.


Puis je la s�chais avec soin et l'assis � table alors que je pr�parais notre repas de midi.


Je pensais parfois que nous ferions mieux de nous enfuir, mais je pensais imm�diatement aux cons�quences qui en d�couleraient pour mes s�urs et les autres femmes de la famille, de toute mani�re pour nous ne pouvions partir faute d'argent pour assurer la pitance et le coucher !


Mais surtout, nous �tions paniqu�s � l'id�e de ce qui arriverait aux gens que nous aimions si nous nous d�robions !



  Nous ne voulions ni l'un ni l'autre alerter les services de police alors qu'ils disposaient de films semblant d�montrer que nous avuions utilis� les services de jeunes mineurs, c'�tait faux, mais comment le d�montrer � la vue de leurs visages juv�niles !


Aussi insupportable que cela nous paraisse nous �tions contraints d'ob�ir docilement.


De toute mani�re nous n'�tions pas assez d�termin�s pour lutter contre des ma�tres-chanteurs aussi bien organis�s.



  Conform�ment � notre planning nous pouvions aller faire des courses � l'�picerie cet apr�s-midi, nous y avons consacr� une bonne paire d'heure, nous aurions aim� y rester plus longtemps mais c'�tait le temps qui nous �tait imparti.



  Nous sommes rentr�s � la maison, nous nous sommes assis et avons sirot� un verre d'un puissant alcool pour dans l'espoir que cel� nous relaxe.


Je remarquais que nous n'avions pas beaucoup discut� entre nous depuis la veille, nous ne voulions ni l'un ni l'autre� �voquer ces profonds changements qui bouleversaient notre vie !



  Nous ne nous sentions jamais tout � fait en s�curit�.


Chaque fois que nous entendions un bruit � l'ext�rieur, on avait peur que ce soit quelqu'un qui d�barque pour baiser Jenny.


Mais personne ne vint et, apr�s un souper l�ger on regarda un peu la t�l� puis nous nous sommes couch�s.


Nous �tions tous deux tr�s fatigu�s apr�s la derni�re nuit.



  Nous nous sommes r�veill�s assez t�t� ce dimanche matin, le fait d'�tre prisonnier dans notre propre maison �tait affolant.


Nous ne pouvions pas sortir, en dehors des plages programm�es.


Nous ne disposions que de deux soir�es de libre chaque semaine, le mercredi et le dimanche, nous sortions rarement le dimanche, c'�tait depuis longtemps notre jour de repos.


De toute mani�re nous n'avions pas envie de sortir maintenant que, la plupart du temps, on devait rester seul chez nous.


Nous aurions voulu que cesse ce d�fil� d'hommes qui venaient satisfaire leurs app�tits de luxure avec Jenny.



  Jenny me confia qu'en fait, il lui semblait que des bites provenant de toutes directions venaient l'assaillir dans notre propre maison.


Ses �l�ves les plus vieux avaient tir� avantages de sa situation !


Elle travaillait un soir par semaine dans un bordel pour Nig�riens, et encore ne savions-nous rien, pour l'instant de ce club priv� o� elle devrait se rendre chaque mardi soir.


Par ailleurs il planait toujours la menace de voir d�barquer des clients qui voulaient la sauter !


Et cela incluait notre propri�taire d'origine indienne qui pouvait se pointer � tout instant.


Cet esclavage semblait fait pour durer sans que nous puissions nous rebeller.



  Le dimanche n'�tait pas un jour de totale libert� du moins avant 14 heures, aussi �tions-nous incapable de vraiment nous relaxer avant 14 heures.


Loersque� 14 heures sonna � l'horloge, personne n'�tait venu dans cette matin�e, on pouvait enfin nous d�contracter un petit peu.


Jenny n'y parvint pas avant qu'il soit temps de nous coucher et qu'elle ait d�cid� ce qu'elle porterait le lendemain pour aller au travail d�s ce lundi.



  Lorsque je rentrais de mon travail ce lundi, la porte �tait ouverte, mais je ne vis pas Jenny.


Je me rendais dans notre chambre o� j'entendis des bruits produits � l'�vidence par un couple en train de forniquer. Je jetais u oeil et vis notre propri�taire juch� sur le ventre de Jenny la baisant comme un malade.



  Je me pr�cipitais au salon et m'emparais de la cam�ra, puis je remontais en toute h�te filmer les derni�res minutes� de leur co�t.


Notre proprio roula sur le flanc, elle se leva et nettoya consciencieusement sa bite comme une bonne petite m�nag�re z�l�e.



  Il l'observa attentivement puis finalement me fixa avec la cam�ra en main.


Cela le d�rangeait, mais il� retrouva rapidement ses esprits et ordonna � Jenny de continuer � le sucer, il me semblait que sa bite reprenait lentement de la vigueur.



  Puis il focalisa son attention sur moi et me fit signe d'approcher. , Lorsque je fus plus pr�s, il me demanda pourquoi je les filmais en train de copuler.



  J'essayais de le convaincre qu'il s'agissait seulement d'un jeu �rotique entre Jenny et moi, mais il me fixa droit dans les yeux et je compris qu'il ne me croyait absolument pas, il me coupa alors :


-         Non, non je ne vous crois pas, je ne crois pas que �a l'amuse de se donner � moi! ... Quelqu'un lui impose de se comporter ainsi avec moi ! ... Est ce vous ?



  Je me comportais comme s'il avait d�couvert mon secret, que j'�tais juste un pervers obligeant Jenny � coucher avec d'autres hommes sous mes yeux.



  -         Cessez de me mentir ! Me coupa-t-il � nouveau.


-         Quelqu'un l'oblige � se prostituer, n'est-ce pas !



  Il semblait tant parodier l'acteur qui jouait dans "court circuit" que je dus r�primer un grand sourire.


Il �tait �vident que ne l'avions pas bern�, j'ajoutais finalement :


-         Quelqu'un est effectivement en position de forcer Jenny � coucher avec vous, uniquement pour l'humilier, lui faire honte ! .....� Je ne sais pas comment ils ont su que Jenny ne s'entendait pas avec vous, mais elle est oblig�e de leur ob�ir servilement et de coucher avec vous pour s'excuser, tout au moins la premi�re fois ! �. Je ne sais m�me pas s'il entrait dans leur plan qu'elle r�cidive !



  Il r�fl�chit un bon moment et reprit :


-         Elle aurait pu refuser apr�s la premi�re fois ! Je ne pense pas qu'elle suce ma queue parce qu'elle aime le faire ou bien parce que subitement sucer un immigrant quinquag�naire l'excite ! ....� Je pense qu'il lui a �t� ordonn� de forniquer avec moi et que celui qui lui a donn� cet ordre ne lui a pas dit qu'elle ne devait le faire qu'une seule fois, je pense que je peux la baiser quand je veux, o� je veux ! ..... Et bien que je ne l'aime pas, je dois avouer qu'elle est vraiment tr�s jolie, tr�s sensuelle et que j'adore la baiser ! .... Je pense que je vais souvent me la faire ! ....� Je la baiserai tant que personne ne me dira d'arr�ter !� ... Je pense qu'elle est oblig�e de faire tout ce que je d�sire, et que vous devez vous contenter d'assister au spectacle en prenant des photos ! .... Qu'en dites-vous ?



  Nous nous regardions silencieusement, chacun cherchant l'argument d�finitif pour clore le d�bat.


Il n'attendit pas plus longtemps et reprit :


-         Je pense que c'est �a !


Puis il abandonna le sujet se concentrant sur la pipe que lui taillait Jenny.



  Il jouit rapidement l'air triomphant.


Jenny avala la mince dose de foutre qu'il �jacula dans sa bouche et garda sa bite en bouche jusqu'� ce qu'il la repousse.


Il se releva et se rhabilla affichant sa satisfaction.


Il nous jouissait de notre situation, il profitait surtout de celle de Jenny, il se foutait pas mal de moi.



  Je remisais la cam�ra lorsqu'il partit et prit Jenny dans mes bras toujours �tendue sur le lit.


Je m'assis et me pelotonnais contre elle, elle ne pleurait plus, elle �tait morose, il lui semblait qu'elle sombrait de plus en plus profond�ment dans un monde de d�pravation sans pouvoir r�agir.


Je la comprenais parce que je ressentais la m�me chose.


Je l'embrassais dans le cou tout en la tenant serr�e contre moi, apr�s quelques minutes elle me confia :


-         Je me suis encore fait baiser par les trois jeunes� batards au boulot ! ...� Cela devient une corv�e quotidienne, et cela risque durer jusqu'� leur d�part � 21 ans ! ... Et encore dois-je consid�rer que j'ai bien de la chance qu'ils n'aient refil� le tuyau � personne !



  Elle tendit la main entre nous deux, empoigna ma bite qu'elle serra tendrement entre ses doigts.


Elle s'�tait ramollie, mais je bandais dur en filmant sa performance avec le proprio, je m'en sentais coupable, bien que je ne puisse m'emp�cher de bander !


Elle me susurra :


-         Nous n'avons pas fait l'amour depuis des jours et des jours, tu dois en avoir dr�lement envie !



  Je r�pliquais :


-         Tu dois d�j� satisfaire� �norm�ment de bites affam�es, tu n'as aucun besoin d'en satisfaire une de plus !



  Elle soupira et reprit :


-         C'est vrai, parfois j'ai l'impression de baiser avec tous les homes qui m'approchent...� Mais ton p�nis est le seul qui ne soit pas une menace ! ... C'est le seul qui ne me viole pas ! ..... Et je sais combien tu es en manque !



  Sur ces mots elle se tourna vers moi et me repoussa sur le dos avant de lib�rer ma mentule.


Elle me sourit, un sourire sinc�re cette fois, et me dit :


-         Je t'aime, et j'aime ton p�nis ! ....� N'aie pas peur de me faire l'amour ! ....� Malgr� avec tout ce que j'endure, j'ai envie de te rendre heureux !



J'aurais pu me montrer inflexible, mais elle avait d�j� entrepris de me sucer lentement et j'aurai beaucoup de mal � renoncer � cette fantastique fellation.



  Une fois que je me fus vid� dans sa bouche, elle se releva et alla prendre une douche tandis que je m'occupais du souper.


Elle revint qu�un quart d'heure plus tard et m'aida � terminer les pr�paratifs du repas.


J'ouvris une bouteille de vin que l'on but en mangeant, puis on nettoya la cuisine et on regarda la t�l� pendant un petit moment.



  Quand nous sommes all�s coucher,� je l'ai prise dans mes bras et j'ai commenc� � l'embrasser� amoureusement, puis mon visage se glissa vers sa prairie?


Elle avait eu �norm�ment de rapports sexuels ces derniers temps mais que de tr�s rares orgasmes !


Je pensais que cela ne pouvait que la d�contracter un tant soit peu.


Elle chercha � freiner mes �lans amoureux mais j'insistais en lui l�chottant la cramouille la faisant jouir � plusieurs reprises alors que je lui bouffais le gazon, puis je cessais brusquement toutes caresses. sans m�me la p�n�trer.



  Apr�s cela nous nous sommes endormis, nous �tions tous deux plus relax�s et nous avons bien mieux dormi que toute cette semaine, m�me si la pens�e de devoir nous rendre au club priv� le lendemain soir nous inqui�tait.



  Mardi fut un nouveau jour d'humiliation et de d�gradations pour Jenny, nous �tions de plus en plus nerveux au fur et � mesure qu'approchait l'heure de nous rendre au club priv�.


Juste avant que nous partions, le t�l�phone sonna, c'�tait monsieur Eng.


Il me dit qu'il avait oubli� de me pr�venir de ne pas prendre la cam�ra, les cam�ras �taient interdites � l'int�rieur du club.


Je conduisis Jenny au club et nous entr�mes par la porte de cot� qu�on nous avait indiqu� de prendre.


Une �norme diff�rence sautait imm�diatement aux yeux : tous les gens � l'int�rieur �taient blancs !


Pour des raisons obscures, la pens�e qu'elle devrait faire tout ce qu'on lui demanderait dans un club rempli de gens de notre ville nous rendait la chose encore plus g�nante.



  Nous avons gagn� un petit bureau o� se tenait monsieur Eng derri�re un bureau couvert de dossiers de travail.


Il nous regarda aimablement et sourit :


-         Ah Jenny, juste � l'heure, enl�ve-moi cette tenue !



  Elle d�fit l'unique bouton de sa toge et me la tendit.


Monsieur Eng se leva contourna le bureau et la fit mettre � genoux.


Elle ouvrit instantan�ment sa braguette et sortit sa grosse bite� alors qu'il lui disait :


-         J'esp�re bien que tu vas me sucer avec toute la science que tu as emmagasin�e depuis le d�but de tes vacances � T�n�rife !



  Monsieur� Eng nous informa :


-         La client�le de ce club est tout � fait diff�rente de l'autre,� ici tu trouveras surtout des seniors, des gagneurs, des hommes d'affaires blancs.


-         C'est un club de sexe, juste un plus discret que les autres. Enfin l�g�rement plus discret.


-         Tu devras circuler parmi les consommateurs et flirter avec eux, si l'un veut coucher avec toi il te donnera son num�ro de chambre et tu iras l'attendre dans cette chambre o� tu feras tout ce qu'il te demandera.


-         Tant que tu seras dans le club les r�gles sont simples, tu ne dois rien refuser quoi que l'on te demande.



  Il se tourna alors vers moi et ajouta :


-         Tu l'attendras dans la salle d'attente en compagnie des autres maris et petits amis...� Mais ne te tracasse pas, les performances de nos putes sont secr�tement enregistr�es et vous pourrez les voir sur des �crans dans la salle d'attente.



  On me mena dans une pi�ce ou un mur �tait couvert d'�crans de surveillance, le but �tant, je suppose d'humilier les spectateurs.


Nous pouvions� voir nos femmes errer dans un salon� plein de pervers vieux anglais qui les emmenaient dans les chambres contigu�s o� elles devaient se plier toutes leurs fantaisies sexuelles.



  J'observais Jenny qui circulait au travers de la salle alors que ces hommes de la classe sup�rieure l'empoignaient pour inventorier sans vergogne ses charmes les plus secrets comme ils le feraient d'une prostitu�e des plus communes.



  Angoiss�, je la vis suivre un de ces hommes dans une chambre je suis sure qu'il s'agissait du gros homme avec lequel elle avait du baiser dans notre h�tel � T�n�rife.


Ils pass�rent un tr�s long moment ensemble.



  La soir�e �tait bien plus calme que celle qu'elle avait endur�e au club nig�rien vendredi dernier, de plus elle se termina plus t�t.


Je suppose que ces vieillards �taient des couches t�t et comme il s'agissait d'une nuit en semaine.



  Nous avons pu quitter le club vers minuit, Jenny ne me semblait pas vraiment traumatis�e.


En fait j'avais l'impression qu'elle �tait tr�s excit�e.



  Alors que nous retournions � la maison,� elle me fit arr�ter dans un parc dans un quartier tranquille.


Elle tourna son visage vers moi, j'avais du mal � me concentrer tant elle �tait excitante dans sa minuscule petite toge.



  Elle vit ce que je reluquais et gloussa puis elle tendit la main et me fit tourner le visage me regardant droit dans les yeux.



  Elle me fit un grand sourire et me demanda:


-         As-tu reconnu, sur l'�cran, ce gros homme qui m'a d�j� bais�e � T�n�rife ?


Je hochais affirmativement la t�te.


-         Sais-tu qui il est ?


Je secouais la t�te, j'�tais certain que si je l'avais d�j� vu� se tapant Jenny ailleurs qu'au club ce soir ou � T�n�rife je m'en rappellerai !



  Elle me r�v�la qu'il s'agissait de l'ancien chef de "'Intelligence Service", il l'avait reconnue et avait �t� tr�s surpris de la trouver l� dans ce club.


Aussi l'avait-il questionn�e lorsqu'ils s'�taient rendus dans une des chambres o� baiser, elle lui avait racont� toute l'histoire.


Lui r�v�lant que toutes ces femmes �taient film�es alors que ces hommes les baisaient � couilles rabattues, et qu'elles �taient toutes oblig�es de se prostituer sous la menace, contre leur volont�.



  Apparemment cela l'avait choqu�, il lui avait promis qu'in servirait de ses contacts pour voir comment il pourrait intervenir.


Il �tait pratiquement s�r que, lorsque l'on saurait que de nombreux notables avaient �t� film�s dans des positions forts compromettantes il y aurait une rapide intervention des forces de l'ordre.



  Nous sommes rentr�s � la maison, en se jurant de ne rien r�v�ler � qui que ce soit de ce qui venait de se passer.


J'�tais presque sur qu'ils avaient pos� des micros dans notre maison ce qui leur permettait de nous �pier.


Mais nous �tions bien trop excit�s pour pouvoir dormir.


Nous avons bu un verre de vin et nous nous sommes pelotonn�s sur le lit en priant que cela cesse rapidement.



  Et c'est ce qui se passa au milieu de la journ�e des agents de "l'Intelligence Service" ainsi qu'une arm�e de policiers locaux investirent les deux clubs et arr�t�rent de nombreux hommes d'affaires nig�riens et leurs partenaires blancs.


Ils d�nich�rent en outre un entrep�t empli de cassettes vid�os, photos et enregistrements de tous genres.



  C'�tait fini, nous pouvions enfin appeler le propri�taire pour lui dire d'aller se faire voir chez les Grecs.


Nous avons pu recommencer � sortir avec nos amis et jenny porta � nouveau des tenues correctes.


Mais elle continua � �voluer enti�rement nue dans la maison.


Elle eut quelques ennuis avec les trois jeunes qui la for�aient � baiser avec eux dans le cadre de son travail, elle finit par n�gocier un march� avec eux, elle accepta de continuer � baiser avec eux une � deux fois par semaine � condition qu'ils se taisent.



  Par ailleurs elle savait que j'adorais qu'elle me raconte ce qui s'�tait pass� lorsqu'elle rentrait � la maison.



  10 janvier 2008


Coulybaca (dominique.dubuissez@orange.fr)


Avec l'aimable autorisation de l'auteur :


Vulgus (vulgus@hotmail.com)




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